Le leader du parti Ldr/Yessal est sur le point de rejoindre Macky Sall pour la prochaine Présidentielle. Modou Diagne Fada, qui ne cache plus son détachement de l’opposition significative, précise toutefois que son parti ne sera pas dissous dans la mouvance présidentielle.
Dans un entretien accordé à Enquete, l'ancien ministre de la jeune parle de sa transhumance. "Il ne s’agira pas de rallier la mouvance présidentielle si nous devions aller ensemble avec le Président Macky Sall en 2019 parce que comme je le dis, la période de la transhumance est close. Aujourd’hui, on ne peut plus parler de transhumance parce que ce mandat est terminé. C’est peut être aller prendre des risques avec un candidat pour voir s’il va être élu ou pas. La politique a une dose de risque et faire de la politique aussi, c’est accepter de prendre des risques. C’est la raison pour laquelle, s’il le faut, nous n’allons pas hésiter à le faire", a t-il dit
Il ajoute que" nous sommes en train de travailler à la construction d’une alliance politique et non à une démarche devant conduire à la transhumance. Nous avons dit Oui à une alliance politique mais non à la transhumance. Nous n’allons pas prendre de poste ni de responsabilités, mais choisir parmi les candidats qui sont en lice le meilleur, celui qui a un programme plus proche du nôtre, sur qui des espoirs peuvent se reposer pour faire développer le Sénégal et nous allons l’accompagner pour l’aider à obtenir un nouveau mandat ou un mandat."
Dans un entretien accordé à Enquete, l'ancien ministre de la jeune parle de sa transhumance. "Il ne s’agira pas de rallier la mouvance présidentielle si nous devions aller ensemble avec le Président Macky Sall en 2019 parce que comme je le dis, la période de la transhumance est close. Aujourd’hui, on ne peut plus parler de transhumance parce que ce mandat est terminé. C’est peut être aller prendre des risques avec un candidat pour voir s’il va être élu ou pas. La politique a une dose de risque et faire de la politique aussi, c’est accepter de prendre des risques. C’est la raison pour laquelle, s’il le faut, nous n’allons pas hésiter à le faire", a t-il dit
Il ajoute que" nous sommes en train de travailler à la construction d’une alliance politique et non à une démarche devant conduire à la transhumance. Nous avons dit Oui à une alliance politique mais non à la transhumance. Nous n’allons pas prendre de poste ni de responsabilités, mais choisir parmi les candidats qui sont en lice le meilleur, celui qui a un programme plus proche du nôtre, sur qui des espoirs peuvent se reposer pour faire développer le Sénégal et nous allons l’accompagner pour l’aider à obtenir un nouveau mandat ou un mandat."