Invité à la conférence de l’Union Internationale des Juristes à Konya ville de Turquie, le député panafricain maître Djibril War n’a pas manqué lors de sa présentation de poser le cas de son compatriote l’international sénégalais Idrissa Gana Gueye, évoluant au club de football Paris Saint Germain. Le Thème central de cette rencontre internationale était : « Violation des Droits de l’Homme dans le Monde Islamique ».
Le député était invité pour faire une présentation sur un sujet d’actualité : « La Situation des Peuples de l’Afrique de l’Ouest au regard des Droits de l’Homme. » Dans son exposé, il avait rappelé qu’Afrique, plus précisément de l’Ouest, la prise en compte des droits de l’homme remonte fort loin depuis la nuit des temps, avec la « Charte du Mandén ou Mandingue, proclamée vers 1222. S’agissant du Sénégal, il est partiE signataire de nombreux Accords, Conventions et Traités qui consacrent et garantissent les droits et les libertés des citoyens qui sont intégrés dans sa Constitution et ses lois. Concernant le genre, l’État sous le magistère du Président Macky Sall a connu de grandes avancées pour les femmes, les enfants et les couches vulnérables, ainsi que sur la liberté de presse et d’opinion.
Sur la question de l’homosexualité, Me War a rappelé la position constante du Sénégal sur cette pratique que les sénégalais toutes croyances confondues musulmans comme chrétiens considèrent comme une atteinte à leurs valeurs religieuses, morales et culturelles. Cette pratique au Sénégal est par conséquent punie par le Code Pénal avec une loi de 1966 qui prévoit des condamnations à de lourdes peines d’emprisonnement contre toute personne jugée coupable d’avoir commis des actes contre nature avec une personne du même sexe. Le Président Macky Sall l’a toujours rappelé et sans détour partout à de grandes personnalités, notamment l’ancien Président américain Obama et récemment au Premier Ministre canadien Trudeau :« L’homosexualité et tout autre acte contre nature ne seront jamais légalisés au Sénégal !».
Le député a ainsi exprimé l’indignation du peuple sénégalais pour le traitement injuste, désobligeant (insultes, menaces,) fait par des personnalités politiques françaises, des associations « Pro LGBT » et une bonne partie de la presse à l’international sénégalais musulman Idrissa Gana Gueye. La raison de cette persécution est qu’il s’était désisté de jouer lors d’une rencontre de son club où les joueurs devaient porter des maillots portant des effigies aux couleurs des « LGBT » en guise de soutien à « la lutte contre l’homophobie ».
Le Président Macky Sall et le Peuple du Sénégal ont condamné publiquement cette violation flagrante à la liberté de conscience. La demande de maître Djibril War aux membres de l’Organisation Internationale des Juristes constituée juges, avocats, experts, professeurs de nombreux pays pour une motion de soutien en faveur du joueur sénégalais a reçu un grand écho favorable par une forte acclamation générale , suite au slogan du député : « oui pour le respect de la liberté de conscience et de culte, non à la légalisation de l’ homosexualité et à l’ islamophobie !touche pas à notre Idrissa ! »
Le député était invité pour faire une présentation sur un sujet d’actualité : « La Situation des Peuples de l’Afrique de l’Ouest au regard des Droits de l’Homme. » Dans son exposé, il avait rappelé qu’Afrique, plus précisément de l’Ouest, la prise en compte des droits de l’homme remonte fort loin depuis la nuit des temps, avec la « Charte du Mandén ou Mandingue, proclamée vers 1222. S’agissant du Sénégal, il est partiE signataire de nombreux Accords, Conventions et Traités qui consacrent et garantissent les droits et les libertés des citoyens qui sont intégrés dans sa Constitution et ses lois. Concernant le genre, l’État sous le magistère du Président Macky Sall a connu de grandes avancées pour les femmes, les enfants et les couches vulnérables, ainsi que sur la liberté de presse et d’opinion.
Sur la question de l’homosexualité, Me War a rappelé la position constante du Sénégal sur cette pratique que les sénégalais toutes croyances confondues musulmans comme chrétiens considèrent comme une atteinte à leurs valeurs religieuses, morales et culturelles. Cette pratique au Sénégal est par conséquent punie par le Code Pénal avec une loi de 1966 qui prévoit des condamnations à de lourdes peines d’emprisonnement contre toute personne jugée coupable d’avoir commis des actes contre nature avec une personne du même sexe. Le Président Macky Sall l’a toujours rappelé et sans détour partout à de grandes personnalités, notamment l’ancien Président américain Obama et récemment au Premier Ministre canadien Trudeau :« L’homosexualité et tout autre acte contre nature ne seront jamais légalisés au Sénégal !».
Le député a ainsi exprimé l’indignation du peuple sénégalais pour le traitement injuste, désobligeant (insultes, menaces,) fait par des personnalités politiques françaises, des associations « Pro LGBT » et une bonne partie de la presse à l’international sénégalais musulman Idrissa Gana Gueye. La raison de cette persécution est qu’il s’était désisté de jouer lors d’une rencontre de son club où les joueurs devaient porter des maillots portant des effigies aux couleurs des « LGBT » en guise de soutien à « la lutte contre l’homophobie ».
Le Président Macky Sall et le Peuple du Sénégal ont condamné publiquement cette violation flagrante à la liberté de conscience. La demande de maître Djibril War aux membres de l’Organisation Internationale des Juristes constituée juges, avocats, experts, professeurs de nombreux pays pour une motion de soutien en faveur du joueur sénégalais a reçu un grand écho favorable par une forte acclamation générale , suite au slogan du député : « oui pour le respect de la liberté de conscience et de culte, non à la légalisation de l’ homosexualité et à l’ islamophobie !touche pas à notre Idrissa ! »