Nicolas Dupont-Aignan jette un regard sévère sur la présidentielle. "Cette élection est truquée de A à Z sur les parrainages (...). Jamais on n'a aussi peu abordé les problèmes, jamais on n'a eu autant de propagande pour Macron", a estimé le candidat de Debout la République sur RTL, dans un entretien très tendu avec les journalistes.
Ce mardi 29 mars, Nicolas Dupont-Aignan a estimé que la prochaine élection présidentielle, dont le premier tour a lieu le 10 avril prochain, "est truquée de A à Z". Le candidat souverainiste, à la peine dans les sondages, a dénoncé des problèmes d'équité dans "les parrainages, les temps de parole et les financements".
Selon lui, "jamais il n'y a eu une telle propagande pour Emmanuel Macron. Les médias sont complaisants avec Emmanuel Macron. Il n'y a pas d'égalité, on entend toujours les mêmes", a déploré le maire de Yerres (Essonne), qualifiant les médias de "caste" qui "oublie les problèmes des Français".
Face à ce constat, le candidat, qui a déclaré lundi qu'il menait probablement sa dernière campagne présidentielle, veut dire aux Français "qu'ils ont le pouvoir de déjouer ce piège". "Si on veut éviter que ça se termine dans la rue un jour, si les Français ne vont pas voter pour une élection aussi décisive, ils seront foutus", selon lui.
Ce mardi 29 mars, Nicolas Dupont-Aignan a estimé que la prochaine élection présidentielle, dont le premier tour a lieu le 10 avril prochain, "est truquée de A à Z". Le candidat souverainiste, à la peine dans les sondages, a dénoncé des problèmes d'équité dans "les parrainages, les temps de parole et les financements".
Selon lui, "jamais il n'y a eu une telle propagande pour Emmanuel Macron. Les médias sont complaisants avec Emmanuel Macron. Il n'y a pas d'égalité, on entend toujours les mêmes", a déploré le maire de Yerres (Essonne), qualifiant les médias de "caste" qui "oublie les problèmes des Français".
Face à ce constat, le candidat, qui a déclaré lundi qu'il menait probablement sa dernière campagne présidentielle, veut dire aux Français "qu'ils ont le pouvoir de déjouer ce piège". "Si on veut éviter que ça se termine dans la rue un jour, si les Français ne vont pas voter pour une élection aussi décisive, ils seront foutus", selon lui.