Intervenant lors de la journée de réflexion de l’Amicale des administrateurs civils du Sénégal (Aacs), samedi, le professeur Jacques Mariel Nzouankeu a fait une série de propositions fortes.
Celles-ci porte sur le thème de la rencontre : «La rationalisation de l’espace politique sénégalais». Parmi les recommandations de Nzouankeu, il y a la suppression des coalitions et le retour du régime présidentiel, «qui implique la suppression du poste de Premier ministre». Dans ce cas, souligne le conférencier, «l’Assemblée nationale ne peut être dissoute, les députés, non plus, ne peuvent renverser le gouvernement».
Pour rappel, Mame Mbaye Niang, alors Président du Conseil de surveillance de la haute autorité de l’aéroport Léopold Sédar Senghor, structure qui dépend de la Primature, avait souhaité en 2014 la suppression du poste de Premier ministre. «Ce que je constate, c’est que la Fonction fait naître beaucoup d’ambition… Cette position est par elle-même, génératrice d’ambitions et donc de conflits. Je pense tout simplement qu’il faut la supprimer de nos institutions », a dit le jeune responsable à l’APR.
Selon M. Niang, aucun président ne va accepter après avoir été élu par les Sénégalais de se laisser prendre son pouvoir ou ruiner par quelqu’un qui a été nommé par lui. «Dès que vous nommez les gens, ils commencent à développer des esprits de groupe, des tendances sectaires, à avoir des ambitions au point d’oublier ceux qui les ont nommés. Ils développent des stratégies d’implantation, de maillage, de noyautage… », a-t-il expliqué.
Après Mame Mbaye Niang, Secrétaire national chargé des jeunes de l'Alliance pour la République (Apr), c'est au tour de l'ex président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar (BBY) de monter au créneau pour demander la suppression du poste du Premier ministre. ''Je souhaite la suppression du poste du Pm'', avait déclaré Moustapha Diakhaté au cours de l'émission Grand Jury de la Rfm.
Celles-ci porte sur le thème de la rencontre : «La rationalisation de l’espace politique sénégalais». Parmi les recommandations de Nzouankeu, il y a la suppression des coalitions et le retour du régime présidentiel, «qui implique la suppression du poste de Premier ministre». Dans ce cas, souligne le conférencier, «l’Assemblée nationale ne peut être dissoute, les députés, non plus, ne peuvent renverser le gouvernement».
Pour rappel, Mame Mbaye Niang, alors Président du Conseil de surveillance de la haute autorité de l’aéroport Léopold Sédar Senghor, structure qui dépend de la Primature, avait souhaité en 2014 la suppression du poste de Premier ministre. «Ce que je constate, c’est que la Fonction fait naître beaucoup d’ambition… Cette position est par elle-même, génératrice d’ambitions et donc de conflits. Je pense tout simplement qu’il faut la supprimer de nos institutions », a dit le jeune responsable à l’APR.
Selon M. Niang, aucun président ne va accepter après avoir été élu par les Sénégalais de se laisser prendre son pouvoir ou ruiner par quelqu’un qui a été nommé par lui. «Dès que vous nommez les gens, ils commencent à développer des esprits de groupe, des tendances sectaires, à avoir des ambitions au point d’oublier ceux qui les ont nommés. Ils développent des stratégies d’implantation, de maillage, de noyautage… », a-t-il expliqué.
Après Mame Mbaye Niang, Secrétaire national chargé des jeunes de l'Alliance pour la République (Apr), c'est au tour de l'ex président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar (BBY) de monter au créneau pour demander la suppression du poste du Premier ministre. ''Je souhaite la suppression du poste du Pm'', avait déclaré Moustapha Diakhaté au cours de l'émission Grand Jury de la Rfm.