La Guinée-Bissau a un nouveau Premier ministre : Augusto Antonio Artur Da Silva, diplomate de carrière et ancien ministre des Affaires étrangères du gouvernement de Carlos Correia (2015). C’est le sixième Premier ministre de cette législature. Il est investi ce mercredi 31 janvier pour lui permettre de former rapidement un gouvernement à base élargie.
Augusto Antonio Artur Da Silva est un dirigeant du PAIGC et avait occupé dans le dernier gouvernement de ce parti en 2015 le poste de ministre des Affaires étrangères. Il aura comme tâche essentielle de former un gouvernement d’union qui aura pour mission d’organiser dans les 90 jours des élections législatives.
La tension politique va-t-elle baisser ?
Pour cette fois-ci, ces scrutins seront financés sur fonds propres, a promis le président José Mario Vaz. Une première en Guinée-bissau. Cette nomination d’un responsable du PAIGC contribuera-t-elle à faire baisser la tension politique ? Cette dernière s’est ravivée depuis hier, mardi 30 janvier, avec l’occupation par des forces de l’ordre, de la permanence du PAIGC pour empêcher ce parti de tenir son congrès.
La justice annule le congrès
L’occupation du siège par les forces de l’ordre a été ordonnée par le ministère de l’Intérieur, à la suite de dissensions au sein du parti, entraînant la suspension de certains délégués. La justice s’est saisie de l’affaire et a décidé d’annuler tout simplement le congrès.
RFI
Augusto Antonio Artur Da Silva est un dirigeant du PAIGC et avait occupé dans le dernier gouvernement de ce parti en 2015 le poste de ministre des Affaires étrangères. Il aura comme tâche essentielle de former un gouvernement d’union qui aura pour mission d’organiser dans les 90 jours des élections législatives.
La tension politique va-t-elle baisser ?
Pour cette fois-ci, ces scrutins seront financés sur fonds propres, a promis le président José Mario Vaz. Une première en Guinée-bissau. Cette nomination d’un responsable du PAIGC contribuera-t-elle à faire baisser la tension politique ? Cette dernière s’est ravivée depuis hier, mardi 30 janvier, avec l’occupation par des forces de l’ordre, de la permanence du PAIGC pour empêcher ce parti de tenir son congrès.
La justice annule le congrès
L’occupation du siège par les forces de l’ordre a été ordonnée par le ministère de l’Intérieur, à la suite de dissensions au sein du parti, entraînant la suspension de certains délégués. La justice s’est saisie de l’affaire et a décidé d’annuler tout simplement le congrès.
RFI