Comme nous l'avons annoncé le journaliste René Capain Bassène a été entendu ce vendredi après-midi de 15h à 17h15mn en catimini sans que son avocat et sa famille soit au courant à l’Inspection Régionale de l’Administration pénitencière de Ziguinchor.
Lors de son mandat de dépôt, c’était digne d’un film hollywoodien, aujourd’hui encore un scénario inexplicable. D’habitude c’est au tribunal départemental que les détenus sont interrogés sur le fond de leurs dossiers mais le journaliste René Capain l’a été à l’Inspection Régionale de l’Administration Pénitencière de Ziguinchor, lieu isolé. Pire ses avocats n’ont pas été avisés comme ils nous l’ont confirmé au fil. Comme lors de l’enquête à la gendarmerie il n’a encore point bénéficié d’une assistance juridique. Le juge d'instruction Augustin DIOUF a auditionné l'ancien journaliste du groupe Walfadjri au fond du dossier. Réné Capain et 20 autres détenus sont accusés d'avoir orchestré la tuerie de Boffa.
La tension était vive
Un fait a noté : la presse venue nombreuse couvrir l’événement à vue certains reporters se faire arracher des mains leurs caméras. Ses frères ont été refusés de le voir après son retour d’audition bien qu’ils soient dans le timing. A noter que René Capain Bassène a été entendu dans les locaux de l’administration pénitencière. La police et la gendarmerie étaient sur le qui-vive. Par contre sa famille souhaite l'ouverture d'un procès et dénonce son isolement.
Lors de son mandat de dépôt, c’était digne d’un film hollywoodien, aujourd’hui encore un scénario inexplicable. D’habitude c’est au tribunal départemental que les détenus sont interrogés sur le fond de leurs dossiers mais le journaliste René Capain l’a été à l’Inspection Régionale de l’Administration Pénitencière de Ziguinchor, lieu isolé. Pire ses avocats n’ont pas été avisés comme ils nous l’ont confirmé au fil. Comme lors de l’enquête à la gendarmerie il n’a encore point bénéficié d’une assistance juridique. Le juge d'instruction Augustin DIOUF a auditionné l'ancien journaliste du groupe Walfadjri au fond du dossier. Réné Capain et 20 autres détenus sont accusés d'avoir orchestré la tuerie de Boffa.
La tension était vive
Un fait a noté : la presse venue nombreuse couvrir l’événement à vue certains reporters se faire arracher des mains leurs caméras. Ses frères ont été refusés de le voir après son retour d’audition bien qu’ils soient dans le timing. A noter que René Capain Bassène a été entendu dans les locaux de l’administration pénitencière. La police et la gendarmerie étaient sur le qui-vive. Par contre sa famille souhaite l'ouverture d'un procès et dénonce son isolement.