L’armée israélienne a annoncé, vendredi 15 décembre, avoir tué trois otages « par erreur » lors d'une opération dans le nord de la bande de Gaza. Les victimes avaient été identifiées « comme une menace » par des soldats de l'État hébreu. « Une tragédie » qui plonge « tout l’État d’Israël dans le deuil », affirme le Premier ministre Benyamin Netanyahu.
Après l'aveu de l'armée israélienne d'avoir tués trois otages israéliens « par erreur », les familles des détenus manifestent pour demander leur libération immédiate devant le ministère de la Défense à Tel-Aviv.
Le drame s'est noué à Choujaiya, dans le nord de la bande de Gaza. De sources militaires, deux pistes sont plausibles : soit ces trois otages avaient été abandonnés par leurs ravisseurs en fuite, soit ils avaient réussi à s’échapper eux-mêmes. Les victimes sont Yotam Haïm, un batteur de heavy metal qui était âgé de 28 ans, et Samer al-Talalqa, un Bédouin de 25 ans. Tous deux avaient été enlevés par le Hamas au kibboutz Nir Am, le 7 octobre. Le troisième otage tué et Alon Lulu Shamriz, 26 ans, qui vivait au kibboutz Kfar Aza.
« Je pleure la chute de trois de nos chers fils »
Leurs corps ont été rapatriés en Israël. Ces décès portent à 22 le nombre d'otages dont la mort a été confirmée. Lors de la trêve entre Israël et le Hamas entre le 24 et le 30 novembre, 110 otages ont été libérés. Aujourd'hui, 129 personnes sont encore captives, sans que l'on sache si toutes sont encore en vie.
« Avec tout le pays, je pleure la chute de trois de nos chers fils », affirme le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu. « C’est une tragédie insupportable et nous allons en tirer les leçons », dit-il encore. Dès que l’information a été publiée, des familles d’otages se sont rassemblées spontanément face au ministère de la Défense, à Tel-Aviv. Elles devraient faire une déclaration à la presse ce samedi 16 décembre.
Après l'aveu de l'armée israélienne d'avoir tués trois otages israéliens « par erreur », les familles des détenus manifestent pour demander leur libération immédiate devant le ministère de la Défense à Tel-Aviv.
Le drame s'est noué à Choujaiya, dans le nord de la bande de Gaza. De sources militaires, deux pistes sont plausibles : soit ces trois otages avaient été abandonnés par leurs ravisseurs en fuite, soit ils avaient réussi à s’échapper eux-mêmes. Les victimes sont Yotam Haïm, un batteur de heavy metal qui était âgé de 28 ans, et Samer al-Talalqa, un Bédouin de 25 ans. Tous deux avaient été enlevés par le Hamas au kibboutz Nir Am, le 7 octobre. Le troisième otage tué et Alon Lulu Shamriz, 26 ans, qui vivait au kibboutz Kfar Aza.
« Je pleure la chute de trois de nos chers fils »
Leurs corps ont été rapatriés en Israël. Ces décès portent à 22 le nombre d'otages dont la mort a été confirmée. Lors de la trêve entre Israël et le Hamas entre le 24 et le 30 novembre, 110 otages ont été libérés. Aujourd'hui, 129 personnes sont encore captives, sans que l'on sache si toutes sont encore en vie.
« Avec tout le pays, je pleure la chute de trois de nos chers fils », affirme le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu. « C’est une tragédie insupportable et nous allons en tirer les leçons », dit-il encore. Dès que l’information a été publiée, des familles d’otages se sont rassemblées spontanément face au ministère de la Défense, à Tel-Aviv. Elles devraient faire une déclaration à la presse ce samedi 16 décembre.