Depuis la tuerie de Boffa, l'armée nationale, conformément aux instructions du chef de l'État, est en train de "nettoyer" les forêts de la région de Ziguinchor. Et ses opérations ne sont pas vaines, puisque que l'armée a repris plusieurs bases des bandes armées. Mais, ce n'est pas tout. Si on se fie aux révélations de Barka Ba, journaliste, la base de Sikone située dans le département du MFDC serait tombée entre les mains de l'armée nationale.
Selon nos confrères de RFI, sur le terrain, les intenses bombardements aériens et les tirs à l’artillerie entendus mercredi et aux premières heures ce jeudi encore ont fini par faire mouche selon plusieurs sources concordantes.
Trois bases rebelles sont tombées, selon un combattant du Mouvement des forces démocratiques de Casamance. Ses occupants se sont évanouis dans la nature avec armes et bagages.
« L’armée (sénégalaise) occupe le terrain, mais nous sommes toujours en train de nous battre. Ils continuent de nous pilonner. Et tous les jours ils nous pilonnent… »
Un retrait tactique ou une défaite ? Rien n’est moins sûr. Ni l’armée sénégalaise ni celle de la Guinée-Bissau voisine n’ont encore fait de déclaration sur la situation.
Une situation qui relance à nouveau, après plusieurs mois d’accalmie, une guerre qui a fait des milliers de morts et de déplacés dont certains se sont installés en Guinée-Bissau, dans des localités très proches des zones de combat : Nhalom, Brenglom et Mangomga notamment.
Selon nos confrères de RFI, sur le terrain, les intenses bombardements aériens et les tirs à l’artillerie entendus mercredi et aux premières heures ce jeudi encore ont fini par faire mouche selon plusieurs sources concordantes.
Trois bases rebelles sont tombées, selon un combattant du Mouvement des forces démocratiques de Casamance. Ses occupants se sont évanouis dans la nature avec armes et bagages.
« L’armée (sénégalaise) occupe le terrain, mais nous sommes toujours en train de nous battre. Ils continuent de nous pilonner. Et tous les jours ils nous pilonnent… »
Un retrait tactique ou une défaite ? Rien n’est moins sûr. Ni l’armée sénégalaise ni celle de la Guinée-Bissau voisine n’ont encore fait de déclaration sur la situation.
Une situation qui relance à nouveau, après plusieurs mois d’accalmie, une guerre qui a fait des milliers de morts et de déplacés dont certains se sont installés en Guinée-Bissau, dans des localités très proches des zones de combat : Nhalom, Brenglom et Mangomga notamment.