Longtemps considéré comme un danger pour les intérêts de la France, Guy Marius Sagna, membre de FRAPP France Dégage, était depuis longtemps dans le viseur de l’ambassadeur de France au Sénégal.
Selon nos confrères du site Atlanticactu.com , Ndékétéyo, Guy Marius Sagna était depuis longtemps sur les tablettes de son Excellence Christophe Bigot qui n’acceptait pas de voir l’image de son pays piétinée par une « bande d’aventuriers » qui seraient capables de nuire à l’excellence des relations entre Paris et Dakar.
Les infos du site font état du mécontentement généralisé des autorités diplomatiques françaises à Dakar quant au discours de Guy Marius Sagna et Cie. Parmi ces notes, on peut voir des passages comme ceux : « Naissance d’un sentiment anti français à cause des discours », « Risques pour les intérêts français au Sénégal avec le mouvement FRAPP France Dégage », etc…
En fin de mission au Sénégal, l’ancien ambassadeur aurait demandé la tête de Guy Marius comme cadeau d’adieu. La coïncidence est de taille car, à peine Christophe Bigot a-t-il fini d’anticiper la fête du 14 juillet, histoire de dire au revoir au Sénégal, l’activiste a été arrêté et placé sous mandat de dépôt pour fausse "alerte au terrorisme ".
Une inculpation qui prouve que le jeune activiste n’est rien d’autre que le dindon de la farce dans cette présumée guerre contre le terrorisme que même le Président Macky Sall contre des fantômes depuis son accession au pouvoir.
Comment la france s'amuse avec nos libertés
Atlanticactu de s'interroger combien de fois, Christophe Bigot s’est-il amusé sur les plateaux de télévision ou de radio a parler de menaces terroristes ? N’est-ce pas le ministre de l’intérieur français, MR CASTANER qui déclarait devait toute la république que « Le Terrorisme était bien présent au Sénégal ». À l’époque, tous ceux qui cherchent à conduire Guy Marius à la potence, rigolaient ou tapaient des mains pour féliciter Mr Castaner.
Entre Guy Marius Sagna, citoyen sénégalais qui se prononce sur la sécurité de son pays sans arrière pensée aucune et des autorités françaises qui ne cessent depuis des années de semer la peur et le doute dans la tête des populations, il est évident que s’il y avait matière à poursuivre, ce ne serait point l’activiste.
Selon nos confrères du site Atlanticactu.com , Ndékétéyo, Guy Marius Sagna était depuis longtemps sur les tablettes de son Excellence Christophe Bigot qui n’acceptait pas de voir l’image de son pays piétinée par une « bande d’aventuriers » qui seraient capables de nuire à l’excellence des relations entre Paris et Dakar.
Les infos du site font état du mécontentement généralisé des autorités diplomatiques françaises à Dakar quant au discours de Guy Marius Sagna et Cie. Parmi ces notes, on peut voir des passages comme ceux : « Naissance d’un sentiment anti français à cause des discours », « Risques pour les intérêts français au Sénégal avec le mouvement FRAPP France Dégage », etc…
En fin de mission au Sénégal, l’ancien ambassadeur aurait demandé la tête de Guy Marius comme cadeau d’adieu. La coïncidence est de taille car, à peine Christophe Bigot a-t-il fini d’anticiper la fête du 14 juillet, histoire de dire au revoir au Sénégal, l’activiste a été arrêté et placé sous mandat de dépôt pour fausse "alerte au terrorisme ".
Une inculpation qui prouve que le jeune activiste n’est rien d’autre que le dindon de la farce dans cette présumée guerre contre le terrorisme que même le Président Macky Sall contre des fantômes depuis son accession au pouvoir.
Comment la france s'amuse avec nos libertés
Atlanticactu de s'interroger combien de fois, Christophe Bigot s’est-il amusé sur les plateaux de télévision ou de radio a parler de menaces terroristes ? N’est-ce pas le ministre de l’intérieur français, MR CASTANER qui déclarait devait toute la république que « Le Terrorisme était bien présent au Sénégal ». À l’époque, tous ceux qui cherchent à conduire Guy Marius à la potence, rigolaient ou tapaient des mains pour féliciter Mr Castaner.
Entre Guy Marius Sagna, citoyen sénégalais qui se prononce sur la sécurité de son pays sans arrière pensée aucune et des autorités françaises qui ne cessent depuis des années de semer la peur et le doute dans la tête des populations, il est évident que s’il y avait matière à poursuivre, ce ne serait point l’activiste.