Selon l’Observateur, le colonel Kébé avait été mis en cause dans des scandales d’harcèlement sexuel, d’attentats à la pudeur en 1985. Cette année plusieurs soldats avaient porté plainte contre lui pour des histoires de mœurs. Il était à l’époque Commandant de la 11e compagnie des Fusiliers-voltigeurs ( Cfv) et Commandant de la Place d’Armes de Kédougou.
Le Quotidien "Dakartimes", qui a fait une contre-enquête découvre que des contrevérités. En réalité, le Quotidien l’Observateur, s’est basé sur le réquisitoire du procureur qui demandait 15 mois de prison mais pas sur le délibéré du juge. Le Colonel, Capitaine à l’époque a été purement et simplement relaxé et le soldat plaignant a été radié des rangs.
Le chef de cabinet du Chef d’Etat-major général des Armées (Cemga) d’alors, regrettait dans un rapport que les faits reprochés à l’officier n’aient pas été bien sanctionnés mais le ministre des forces armées d’alors Medoune Fall écrit au colonel en moins d’une année une lettre de satisfaction et de remerciement ou on pouvait y lire: ‘’Malgré toutes les difficultés rencontrées surtout au point de vue logistiques, il a été remarqué la disponibilité et l’esprit d’initiative qu’il (Le Colonel Kébé) a fourni en se substituant à l’autorité administrative locale pour l’organisation du recrutement et il est sûr que si les opérations de recrutement se sont bien déroulées c’est surtout grâce à cet officier.
C’est pourquoi l’administration des forces armées lui témoigne toute sa satisfaction pour le travail remarquable accompli et l’encourage à persévérer dans cette voie’’ En 1992 le même colonel, officier à l’époque accusé d’harcèlement sexuel est le major du concours d’admission du diplôme d’aptitude au grade d’officier supérieur (DAGOS).
Le Quotidien "Dakartimes", qui a fait une contre-enquête découvre que des contrevérités. En réalité, le Quotidien l’Observateur, s’est basé sur le réquisitoire du procureur qui demandait 15 mois de prison mais pas sur le délibéré du juge. Le Colonel, Capitaine à l’époque a été purement et simplement relaxé et le soldat plaignant a été radié des rangs.
Le chef de cabinet du Chef d’Etat-major général des Armées (Cemga) d’alors, regrettait dans un rapport que les faits reprochés à l’officier n’aient pas été bien sanctionnés mais le ministre des forces armées d’alors Medoune Fall écrit au colonel en moins d’une année une lettre de satisfaction et de remerciement ou on pouvait y lire: ‘’Malgré toutes les difficultés rencontrées surtout au point de vue logistiques, il a été remarqué la disponibilité et l’esprit d’initiative qu’il (Le Colonel Kébé) a fourni en se substituant à l’autorité administrative locale pour l’organisation du recrutement et il est sûr que si les opérations de recrutement se sont bien déroulées c’est surtout grâce à cet officier.
C’est pourquoi l’administration des forces armées lui témoigne toute sa satisfaction pour le travail remarquable accompli et l’encourage à persévérer dans cette voie’’ En 1992 le même colonel, officier à l’époque accusé d’harcèlement sexuel est le major du concours d’admission du diplôme d’aptitude au grade d’officier supérieur (DAGOS).