Alors qu'une marche blanche en hommage aux trois Kurdes tués à Paris vendredi s'est élancée dans la capitale française lundi 26 décembre, la garde à vue du principal suspect a été levée et il doit être présenté à un juge d'instruction.
La garde à vue du principal suspect dans la fusillade qui a tué trois Kurdes a été levée lundi 26 décembre. Il va être présenté dans la journée à un juge d'instruction et sa mise en examen devrait intervenir dans la foulée. Une information judiciaire a été ouverte pour assassinat et tentatives d'assassinat en raison de la race, l'ethnie, la nation ou la religion ainsi que pour acquisition, détention et port d'arme non autorisé.
Mobile raciste
Le parquet demande que ce retraité de 69 ans soit placé en détention provisoire. Le mobile raciste du crime se confirme donc. Rappelons que lors de sa garde à vue, le suspect a reconnu ressentir « une haine devenue pathologique des étrangers ». Pour autant, le parquet national antiterroriste ne s'est pas saisi de l'enquête car rien ne relie cet homme à un projet terroriste, selon le parquet.
Et lors de la perquisition au domicile de ses parents, ordinateurs et téléphone n'ont rien révélé sur de possibles de lien avec une idéologie extrémiste. Le retraité de 69 ans a ouvert le feu vendredi dans une rue du Xe arrondissement de Paris, tuant Mir Perwer, un chanteur kurde réfugié politique, et Abdurrahman Kizil, ainsi que la responsable du Mouvement des femmes kurdes en France, Emine Kara.
La garde à vue du principal suspect dans la fusillade qui a tué trois Kurdes a été levée lundi 26 décembre. Il va être présenté dans la journée à un juge d'instruction et sa mise en examen devrait intervenir dans la foulée. Une information judiciaire a été ouverte pour assassinat et tentatives d'assassinat en raison de la race, l'ethnie, la nation ou la religion ainsi que pour acquisition, détention et port d'arme non autorisé.
Mobile raciste
Le parquet demande que ce retraité de 69 ans soit placé en détention provisoire. Le mobile raciste du crime se confirme donc. Rappelons que lors de sa garde à vue, le suspect a reconnu ressentir « une haine devenue pathologique des étrangers ». Pour autant, le parquet national antiterroriste ne s'est pas saisi de l'enquête car rien ne relie cet homme à un projet terroriste, selon le parquet.
Et lors de la perquisition au domicile de ses parents, ordinateurs et téléphone n'ont rien révélé sur de possibles de lien avec une idéologie extrémiste. Le retraité de 69 ans a ouvert le feu vendredi dans une rue du Xe arrondissement de Paris, tuant Mir Perwer, un chanteur kurde réfugié politique, et Abdurrahman Kizil, ainsi que la responsable du Mouvement des femmes kurdes en France, Emine Kara.