Libération informe que l’édile de Bambali a été interpellé en premier pour une «rocambolesque escroquerie foncière». Celui de Thionck-Essyl, cueilli par la suite, serait trempé, selon le journal, dans une affaire de faux à l’état civil.
Et ce n’est pas tout. «Le maire d’une grande localité de Dakar, très proche de la mouvance présidentielle, est aussi dans le collimateur d’un juge d’instruction», informe Libération, qui précise qu’il est cité dans «scabreuse une affaire foncière».