Moussa Thiam, étudiant en Master à la Facultés des lettres et sciences humaines, département de Géographie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, a tiré la sonnette d’alarme. Si rien n’est fait, souligne-t-il, tous les étudiants ressortissants des 17 communes de la région de Fatick seront expulsés, faute de paiement des arriérés de quittance loyer.
"Tous les Sénégalais sont au courant de la situation que nous vivons. Ce, à travers les réseaux sociaux. En tant qu’étudiants ressortissants des 17 communes de la région de Fatick, nous avons aussi organisé des manifestations au niveau de l’université pour manifester nos problèmes dont le plus crucial est celui du logement. Nul n’ignore que notre Amicale est confrontée à un problème de logement", a t-il alerté dans les colonnes du Quotidien la "Tribune.
Moussa Thiam, Président Amicale des étudiants de Fatick précise que "depuis le 6 mars dernier, nous courons derrière nos subventions qui nous venaient de la Présidence. Nous avons entamé plusieurs démarches afin d’obtenir une audience auprès des autorités. Nous avons été reçus par le Docteur Cheikh Kanté. Il nous a soutenus à hauteur d’un million. Une somme qui nous a permis de trouver un immeuble. Mais, depuis un certain temps, nous sommes menacés d’expulsion faute de paiement de six mois d’arriérés. Ce qui est anormal, dans la mesure où nous sommes dans un département où des responsables nommés pour gérer la cité dont les étudiants qui sont une partie intégrante de la société. Les parents nous interpellent pour nous solliciter. C’est dur. Nous avons écrit partout."
"Tous les Sénégalais sont au courant de la situation que nous vivons. Ce, à travers les réseaux sociaux. En tant qu’étudiants ressortissants des 17 communes de la région de Fatick, nous avons aussi organisé des manifestations au niveau de l’université pour manifester nos problèmes dont le plus crucial est celui du logement. Nul n’ignore que notre Amicale est confrontée à un problème de logement", a t-il alerté dans les colonnes du Quotidien la "Tribune.
Moussa Thiam, Président Amicale des étudiants de Fatick précise que "depuis le 6 mars dernier, nous courons derrière nos subventions qui nous venaient de la Présidence. Nous avons entamé plusieurs démarches afin d’obtenir une audience auprès des autorités. Nous avons été reçus par le Docteur Cheikh Kanté. Il nous a soutenus à hauteur d’un million. Une somme qui nous a permis de trouver un immeuble. Mais, depuis un certain temps, nous sommes menacés d’expulsion faute de paiement de six mois d’arriérés. Ce qui est anormal, dans la mesure où nous sommes dans un département où des responsables nommés pour gérer la cité dont les étudiants qui sont une partie intégrante de la société. Les parents nous interpellent pour nous solliciter. C’est dur. Nous avons écrit partout."