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ENQUETE SPECIALE : Les secrets de l’affaire Rilk Dacleu blanchi par le Tribunal

Samedi 5 Mai 2018

Il faut quand même souligner que cette affaire ne concerne pas Rilk ni sa compagnie encore moins son pays (le Qatar). «Je ne suis coupable de rien; je n'ai commis aucun crime. Faire des supputations incorrectes sur ma multinationalité et son usage comme levier fiscal relève de l'atteinte à la vie privée d'un citoyen étranger » a-t-il laissé entendre devant les Juges. Mieux encore, il a précisé que «ses revenus et actifs financiers n'ont rien d'illégaux, n'ont rien à voir avec le Sénégal, et surtout ne regarde en rien les autorités sénégalaises».


ENQUETE SPECIALE : Les secrets de l’affaire Rilk Dacleu blanchi par le Tribunal
 Son avocat Me El Hadji Diouf dira : «L’accusation le décharges des crimes de blanchiment de capitaux; d'escroquerie.... Après une enquête bâclé et s'acharne contre sa personne au motif d'un délit de recel de document administratif qui n'existe pas sans en apporter la preuve. Il devrait lui être présenté des excuses et le laisser rentrer dans son pays».  Selon son avocat Tamir Bin Jaber Al Razam : «Son arrestation, la pire bêtise faite en Afrique».

La défense de Rilk est assurée par Me Ndjiogou Ndjiaye, Me Aliou Badara Fall, Me Amadou Diallo, Me El Hadj Diouf, Me Mamadou Gueye, Me Wane Faye, Me Arouna Bass ainsi Me Luc Detremmerie et Me Florence De Cock dépêchés au Sénégal pour ce procès. Le 19 Avril prochain, Rilk devrait être libéré dans le respect de ses droits. «DakarTimes » confirme cela et apporte les éléments de preuve.
 
RETOUR SUR LES FAITS
Les conclusions de notre enquête confirment aisément l’innocence de ce financier. Rilk a été arrêté dans un contexte politique où tout ce qui touche le Qatar attire la curiosité des tenants du pouvoir à cause de Karim Wade. Parano et frileux, le pouvoir sénégalais pensait que tous passagers venus du Qatar étaient en contact avec Karim Wade. Faux ! DakarTimes va démontrer l’erreur fatale commise par les enquêteurs sur cette affaire.
Son arrestation en cette veille de fête de Korité avait été fortement commentée dans la presse. On était à quelques mois des élections législatives du 30 Juillet 2017. Venu du Qatar, les tenants du pouvoir croyaient qu’il s’agissait d’un émissaire de Karim Wade. Il n’en était rien. Rilk Dacleu-Idrac n’a jamais connu Karim Wade. Jamais ! L’affaire prend de l’ampleur dans les média qui parlent à tort de «mule  de Karim Wade ». Dans nos recherches, nous avons découvert que le monsieur est plutôt une victime.


Il est urgent de lever  une grande équivoque concernant M. Rilk Dacleu-Idrac retenu à Dakar et poursuivi pour des crimes imaginaires dans un pays où il n’a aucune attache. Toute une histoire fausse a été imaginée et collée à ce monsieur qui n’a jusqu’à présent compris ce qui lui est arrivé depuis 08 mois. Injustement, des histoires les plus insensées ont été inventées sur sa personne. Ensuite, sa réputation fut huit mois durant, trainée dans la boue. Plusieurs fois, nous avons essayé d’entrer en contact avec M. Dacleu-Idrac et ses conseils, qui jusque là avaient refusé de parler à la presse  par respect pour la justice Sénégalaise et ce dossier à forte connotation politique.
De son vrai nom Rilk Wilfrith Ngongang Dacleu-Idrac. Il est plus connu en tant que Rilk Dacleu-Idrac ou encore Rilk W. Dacleu-Idrac.  Cet homme d’affaires très respecté sur le plan international est poursuivi au Sénégal pour les «d’association de malfaiteur», de «blanchiment de capitaux», «d’escroquerie», de «tentative d’escroquerie», de «Recel de faux documents», «d’usurpation d’identité numérique». Dans tous ces délits visés, il n’a jamais été désigné la moindre victime contre qui M. Dacleu-Idrac aurait commis les dites infractions ? Cette question n’aura jamais de réponse, vu qu'aucun des faits ne s'est révélé juste.



LES TRACASSERIES POLICIERES A L’AEROPORT DE DAKAR
Le 28 Juin 2017, M. Rilk Dacleu-Idrac arrive à l’aéroport de Dakar. Il effectue tranquillement les formalités d’immigration et se dirigea vers le poste douanier où il fut informé d’une fouille spécifique de ses valises. Il s’est trouvé que  ses valises et malles sont toutes estampillées du sceau de l’Etat du Qatar et de son nom, et sont fabriquées spécialement pour lui.  Mais en aucun moment, il ne s’est prévalu d’un statut diplomatique détenant une «valise diplomatique». N'effectuant pas un déplacement officiel. D’ailleurs c’est la raison pour laquelle, il avait laissé  les agents des Douanes effectuer leur travail de contrôle. Un procès-verbal de constat de Douane fut dressé, et il n’en ressortait rien d’illégal en sa possession. Par la suite, il sera informé qu’il devait être entendu par les  services de police. S’en suivront cinq heures d’interrogatoire au sujet d’un individu nommé Karim Wade et d’éventuel rapport qu’il entretiendrait avec le fils de l’ancien Chef d’Etat du Sénégal Me Abdoulaye Wade. Naturellement Rilk n’a aucun lien direct ou indirect avec Karim Wade. Il tombait des nues. Il ignorait tout ce qui allait lui arriver par la suite. Il sera retenu  en zone de transit toute la nuit – après douze heures de vol – au prétexte qu’un service spécial viendrait s’occupé de lui.

Le lendemain jour de Korité, (férié), il sera transféré dans les locaux d’une brigade spéciale d’enquête en présence du Directeur de la Division des Investigations Criminelles et du Directeur de la Direction de la Surveillance du Territoire. Ces derniers se sont déplacés en personne pour  l’auditionner. M. Dacleu-Idrac sera auditionné sur des questions plus incongrues les unes des autres.  Malgré sa fatigue, son étonnement, il a accepté de coopérer en répondant à toutes les questions posées par les enquêteurs avec respect et considération. Toutefois, il n’avait pas compris son placement  en garde à vue pour le motif du «besoin d’enquête». Rilk était incapable de comprendre les raisons de son arrestation.


Le lendemain et après la deuxième nuit la plus inconfortable de sa vie certainement,  il demande à parler aux autorités de l’ambassade de son pays. Il constitua un avocat pour sa défense, histoire de savoir si au Sénégal, le droit autorisait la rétention et la mise en garde à vue d’un citoyen étranger sans aucune raison valable, ni crime que ce dernier aurait commis.  Son avocat fut informé qu’il n’avait absolument pas d’histoire avec les autorités sénégalaises mais qu’il s’agissait d’une enquête de routine, et qu’il devait être autorisé à rejoindre son hôtel dans le courant de la journée. Mais dès que son avocat fut parti, il sera auditionné à nouveau, puis il sera  informé qu’il faisait l’objet d’une enquête pour blanchiment de capitaux. Il n’y croyait pas et d’ailleurs, n'eut pas manqué de rire à gorge déployée lorsqu’on lui a signifié les raisons de son arrestation.  
M. Dacleu-Idrac était persuadé que le parquet n’allait pas croire à ces conclusions des enquêteurs parce que ce sont des accusations invraisemblables. Dans les locaux de la police, il apprend à travers la presse qu’il serait une “Mule de Karim Wade” arrivé au Sénégal pour financer une campagne électorale. Fake news !


Pour écarter toutes ces accusations fallacieuses, M. Dacleu-Idrac accède à la requête des enquêteurs qui lui avait demandé de déverrouiller son ordinateur et ses téléphones. En tant que chef d’entreprise, il avait accepté de tout livrer aux enquêteurs pour qu’ils aient une idée claire sur ses activités professionnelles et qu’ils soient persuadés qu’il n’est pas la personne qu’ils pensent. Il autorise à la police d’exploiter ses emails professionnels, ce qui pour l’équipe juridique de sa compagnie est illégale à tout point de vue car il s’agit d’une atteinte à la propriété intellectuelle et une violation grave des systèmes IT de Qatar Investment Authority. Ainsi, les enquêteurs de la DIC imprimèrent un email en provenance d’une de leurs banques lui confirmant ainsi qu’au conseil d’administration d’une filiale qu’il préside, au sujet d'un virement au montant de Cinq Cent Millions d’euros – environ 380 Milliards de Francs CFA – au bénéfice d’une filiale dirigée par Rilk. Les policiers imprimèrent aussi tous ses relevés bancaires personnels envoyés électroniquement par ses différentes banques, et probablement surpris de son niveau de revenu eurent à penser à d'éventuels activités délictueuses.


Les fausses accusations s’accumulèrent jusqu’au délit d’usurpation d’identité lorsqu’ils découvrirent qu’un de ses passeports portait un autre nom et qu’il disposait en effet de comptes bancaires ouvert sous ce nom dans ce qu’ils considèrent être un «Paradis Fiscal ». Ce n’est donc que 120 heures après avoir émis le souhait, qu’il fut mis en rapport avec l’ambassade des USA  et autorisé à rencontrer les services consulaires qui se déplacèrent à sa rencontre. Cela fut fait juste avant que les enquêteurs ne décident de le conduire au parquet pour son inculpation sans que la moindre preuve ne soit présentée au-devant du juge qui acquiesça à la requête du parquet. M. Dacleu-Idrac sera retenu et privé de liberté sans aucun fondement solide ni même la moindre volonté de respect de ses droits en tant que citoyen étranger en violation de la Convention de Vienne sur les détenteurs des passeports étrangers.


Lors du procès, la surprise a été grande lorsque le procureur a demandé la relaxe sur les supposés délits de blanchiment, d’escroquerie, de tentative d’escroquerie, de faux documents, et autre… Il a été retenu les délits de recel de faux documents administratifs et d’usurpation d’identité numérique. Mais là aussi ce sont, on peut dire, des délits virtuels.  Les avocats de la défense ont eu à faire des plaidoiries plus que brillantes, démontrant points après points pourquoi il ne pourrait être condamné sous aucun prétexte puisqu’il n’est coupable d’aucun délit.


Sur le recel de faux document administratif, M. Dacleu-Idrac n’a jamais présenté et n’a nullement été trouvé en possession d’un faux document. En plus, l’accusation n’a produit aucun document faux. A partir de là, il ne pourrait être  poursuivi pour faux et usage de faux encore moins de recel de faux document. D’ailleurs, les copies de ses passeports brandies n’ont jamais pu être reconnues comme faux. M. Dacleu-Idrac a été détenu durant huit mois et demi, dont six furent consacrés à un passage au peigne fin de sa vie, dans l’unique but de trouver les moindres faits pouvant corser son dossier et l’enfoncer. Et jusque-là aucune preuve n’a été présentée pouvant attester d'un délit si ce n'est la localisation de ses comptes bancaires dans des endroits aussi exotiques que l'Azerbaïdjan, Singapour, le Panama et bien d'autres.


Il semble que des éléments de DIC auraient dit avoir été informés par son consulat que l’un de ses passeports US serait faux? Cette information ne semble pas conforme à la vérité. Après vérification, le Consulat aurait dit que l’un de ses passeports était expiré depuis 2014. En six mois d’enquête, le caractère faux du dit document n’a jamais été établi. Et pourtant, il était facile de vérifier l’authenticité du document. Devant la barre M. Dacleu-Idrac dira à ce propos  : «Je ne fabrique pas de passeport, alors si un gouvernement m’en délivre un, je pense qu’il faille se référer à lui pour savoir si une irrégularité existe ou pas – il est à rappeler qu’un passeport est la propriété de l’Etat délivrant et non de l’individu le portant, et d’après la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques il faut se rapporter à l’Etat pour tout souci avec la propriété de ce dernier ».  Alors, le caractère faux n’ayant jamais été établi comment peut-il être coupable de recel de faux document ? Un autre délit virtuel apparait, il s’agit du délit d’usurpation d’identité numérique. Aux Etats-Unis d’où il vient,  faire une demande de changement de nom est aussi trivial que se rendre chez un coiffeur. C’est courant et n’a rien illégal. A la barre il a cité les exemples de rappeurs, athlètes, acteurs, présidents et autres ayant procédés au changement de noms ou encore aka (also know as).


SENEGAL : Rilk Dacleu, un financier international qui aurait pu aider le Sénégal
Rilk Wilfrith Dacleu-Idrac est un as de la finance internationale.  Né le 4 décembre 1983, ce brillant financier dirige des entreprises afro-américaines. Actuellement, il est le  Président Directeur Général de Qatara Global, la division stratégique d'investissement direct de la Qatar Investment Authority (QIA). Il faut dire que les autorités sénégalaises se sont lourdement trompées sur cet homme vertueux qui a les capacités d’aider l’Etat du Sénégal à trouver les financements des grands projets.
Dacleu-Idrac a quitté la Mubadala Development Company début 2014 suite à sa nomination à la tête du groupe QIA en fin 2013. Il figure régulièrement parmi les meilleurs joueurs du GCC et est connu pour sa profonde implication dans la candidature du Qatar à la Formula du «Grand Prix » à Lusail.


LA JEUNESSE ET LA CARRIERE DE DACLEU IDRAC
Dacleu-Idrac a obtenu un diplôme de commerce de l'Université de Yale avant d'obtenir un MBA en stratégie et finance d'entreprise à la Haas School of Business de Berkeley. Il a commencé sa carrière aux États-Unis et a occupé des postes de directeur de produits chez AT & T avant de rejoindre Orascom Telecom en Afrique. Il a été admis à la Johnson School of Management en 2009 et a obtenu un diplôme d'études supérieures en gestion publique et privée et une qualification d'analyste financier agréé (CFA) de la société New-York Chartered Financial Analyst. Tout en complétant son programme Cornell, il a déménagé au Boston Consulting Group. Il a été nommé, moins d'un an plus tard, au poste de vice-président exécutif, Stratégie et Ventures, à la Mubadala Development Company. En avril 2015, Dacleu-Idrac est membre de plusieurs conseils d'administration de QIA tels que Qatar Airways, Qatar Holding Indonesia, Sainsbury's et Qatar Steel.


LA CRISE DE LA DETTE DE L’EURO
Au début de l'année 2011, Dacleu-Idrac, alors vice-président de la stratégie pour la principale société d'investissement d'Abu Dhabi, critiquait publiquement les ministres des finances européens pour leur gestion de la crise de la dette dans la zone euro. Il leur propose de participer au  programme de sauvetage en faveur de la Grèce au lieu de restructurer la dette massive du pays. S'adressant à l'éditorialiste du Financial Times, Gillian Tett, sur les différents projets de Mubadala en Italie, il a déclaré : "L'Italie ainsi que l'Espagne ou la Grèce sont peut-être le maillon faible de l'euro avec leurs dettes et leurs falaises fiscales, mais l'UE aurait dû penser aux conséquences éventuelles avant d'entrer dans une union monétaire sans aucune garantie comme la mise en l'économie 101. Si aujourd'hui ils ont peur d'une propagation en cas de restructuration du montant que la Grèce possède ses créanciers, ils feraient mieux d'y aller, l'autre option pourrait aussi bien être l'euro non vivant et enterré par cet hiver [...] Garder des plans de sauvetage, c'est comme remplir un tonneau rempli de trous, peu importe la quantité d'eau que vous versez à la fin de la journée, vos efforts sont vains, vous devriez essayer avec un tout nouveau tonneau. " Dacleu-Idrac a confirmé plus tard son affirmation et plus durement critiqué l'Union européenne sur Quest Means Business où il s'est plaint de la mauvaise gestion de l'affaire grecque à CNN.


GUERRE CIVILE EN LIBYE
Pendant la guerre civile libyenne, un télégramme diplomatique de l'ambassade des Etats-Unis à Abu Dhabi publié par Wikileaks questionnait les liens et les activités entre Mubadala Development Company et la Libye Jamahiriya des Emirats Arabes Unis au sujet des allégations de soutien au régime en place et sa relation avec Saif al-Islam Kadhafi qui aurait eu un impact sur plusieurs offres de Mubadala et a aidé à obtenir plusieurs contrats et concessions gouvernementales en Libye. Plusieurs actes ont été posés pour pour décrire les allégations comme fausses et complètement fabriquées. Les enquêtes du Wall Street Journal ont noté la présence accrue de la division Mubadala Oil & Gas dans les champs pétrolifères libyens et devaient se demander si les Émirats arabes unis et son fonds d'investissement privé collaboraient avec la Libyan Investment Authority pour protéger les actifs du régime de Kadhafi contre le gel international. Interviewé par Fareed Zakaria, le PDG de Mubadala, Khaldoon Al Mubarak a démenti toutes les allégations et a annoncé que sa compagnie avait cessé et mis en attente toutes les transactions et transactions avec la LIA et ses officiels au milieu des troubles et de la guerre dans le pays.


LA FORMULE DU QATAR
À l'été 2015, le tuteur a rapporté que le Qatar faisait face à des turbulences sur sa F1 plusieurs tentatives d'offres et que QIA par le biais de Qatar Sport Investment était en mouvement pour acheter une équipe de Formule Un pour forcer son entrée dans le sport. QIA a par la suite confirmé être aux premières étapes des négociations avec le milliardaire Stephen Ross, propriétaire de Miami Dolphin FC et de RSE Ventures, pour lancer une offre de 8 milliards de dollars pour le capital de 35% de Formule 1 de CVC.
Dans un communiqué de presse, le responsable des relations publiques de CVC a confirmé les contacts avec QIA-RSE Ventures et que Goldman Sachs, la banque désignée pour examiner le processus d'appel d'offres, examinera toutes les offres, quel que soit leur lieu d'arrivée. Les attentions du Sunday Times sur le fait que le Qatar a fait une offre pour les enjeux CVC était une tentative de contourner les règlements de la FIA soulevé une controverse sur le fait que suite à l'allégation de corruption entourant les attributions de la Coupe du monde 2022. Le Qatar souhaitait utiliser sa puissance financière pour dépasser les droits de vote spéciaux de CVC liés à ses actions et imposer sa présence au calendrier du championnat.


CVC, dont les intérêts en F1 sont pris en charge par Bernie Ecclestone, a été le plus gros actionnaire de la F1 depuis une dizaine d'années. Au cours des quatre dernières années, il a investi massivement dans le sport en achetant des commandites et des forfaits publicitaires. A la controverse du Qatar sur la F1, Ecclestone, qui préside le groupe Formula One, a déclaré être très préoccupé par toutes les allégations et les rumeurs, car les controverses étaient mauvaises pour le sport avant d'ajouter:
"Je leur ai dit de les voir dans le Golfe: Bahreïn détient un droit de veto pour tout ajout de Grand Prix dans le golfe, ce qui faisait partie de l'accord conclu lors du lancement du Sport et du premier Grand Prix de Bahreïn. il y a plus de dix ans. Dans une interview conjointe avec SkySports, Dacleu-Idrac et le Dr. Hassan Ali bin Ali, président de la Fédération du sport mécanique du Qatar, ont décrit leur volonté accrue d'aller de l'avant avec Qatar F1 si CVC souhaitait discuter de l'offre QIA-RSE. Et Ali Bin Ali a déclaré: "Nous sommes prêts et nous ferons tout ce qu'il faut pour organiser une course au calendrier, d’ailleurs l'inspecteur de la FIA a déjà inspecté plusieurs fois le circuit de Lusail, mais nous sommes prêts à en construire un autre si nécessaire en respectant les normes et réglementations de la FIA. " Ecclestone, qui a un intérêt personnel dans la F1 d'environ cinq pour cent, a répondu: "Il y a trois ou quatre personnes qui discutent avec CVC mais je ne sais pas à quel point les choses se sont rapprochées à ce stade. S'ils décident de vendre, ils devront me le dire parce que je suis actionnaire. CVC se consacre à l'achat et à la vente de sociétés. Le fait est qu'ils sont très heureux avec la F1 et Donald n'est pas un vendeur enthousiaste. Mais leur entreprise se vend et tout a un prix."


ADHESIONS ET ASSOCIATIONS
Dacleu-Idrac est un Fellow successeur de la Yale Corporation. Il est membre du Qatar Fund for Development, de Make a Wish, du International Rescue Committee et de Catalyst. Son appartenance à la société secrète Skulls and Bones de Yale a été soulignée plusieurs fois, mais n'a jamais été ni niée ni confirmée. Il est républicain et a fait des dons accomplis au Parti républicain des États-Unis lors des élections sénatoriales de 2014 de plus de 12 400 $. Et il a aidé à recueillir des fonds pour les candidats républicains.

Tous les délits s’écroulent !
Peut-on vraiment croire qu’aux Usa, chez le prévenu, où il est autorisé à des personnes de même sexe de se marier où il est autorisé à un individu de subir des opérations de chirurgie plastique pour changer son genre et son sexe de naissance ; où il est interdit de discriminer un homme qui se veut être une femme et vice versa, c’est un crime de changer le nom que l’on porte ou d’en utiliser un différent pour diverses raisons propres à l’unique bon vouloir de l’individu?  Eurent à défendre les avocats de la défense tournant au ridicule le harcèlement dont est victime leur client. En vérité, M. Dacleu-Idrac n’a usurpé l’identité de personne. Mais peut-on nous dire l’identité de qui, a été usurpée par M.Rilk Dacleu-Idrac  se demandait Me Luc Detremmerie, l'un des avocats européen arrivée au Sénégal pour cette affaire. Il fut démontré que l’identité fiscale de M. Dacleu-Idrac est connue, et ses relevés bancaires portant ce même nom le prouvent.  Est-ce possible alors d’usurper sa propre identité? En plus, ce  n’est pas compliqué, il suffit de savoir lire un relevé bancaire pour comprendre que son employeur a procédé à des virements sur ces comptes pour le transfert offshore de ses revenues. Comment et en quoi serait-cela illégal au regard de la loi sénégalaise? On ne peut pas reprocher à M. Dacleu-Idrac d’utiliser à bien les dispositions de la loi de son pays pour obtenir des avantages et/ou opportunités fiscaux. D’autant plus que ce sont des détails qui ne relève pas du périmètre d’application de la justice sénégalaise. Alors pourquoi est-il détenu et assimilé à un vulgaire criminel ayant commis on ne sait quel crime ? s’est demandé Me Florence De Cock, elle aussi dépêché à Dakar. Finalement, Rilk est détenu arbitrairement au Sénégal.

AFFAIRE RILK DACLEU : Aucun des délits visés n’ont été établis
Devant effectuer un séjour de 72heures au Sénégal, M. Rilk Dacleu-Idrac boucle 09 mois retenu dans un pays où il n'a aucune attache. Durant tout le procès, le parquet eut du mal à établir sa culpabilité sur la moindre infraction pénale.  Durant la phase d’enquête, aucune des vérifications nécessaires n’ont été faites, ce qui n’aurait nécessité que quelques coups de téléphones. Aurait-il été assimilé à un criminel et traité sans le moindre égard du simple fait d'une proximité imaginaire avec un « dissident » politique ? Et uniquement parce qu’il détient plusieurs nationalités ?
Il faut aussi évoquer l'affaire visant l’accusation de corruption. Etant détenu, il est matériellement impossible pour M. Dacleu-Idrac d’utiliser de l’argent pour corrompre une personne dans les normes. Mais on l’accuse aussi d’être l’instigateur d’une opération de corruption et qu’il aurait instruit à son garde du corps de procéder à des actes délictueux. Mais il semble qu’on veuille lui porter un délit commis par un tiers. Il semble que la Direction du centre de détention aurait effectué un rapport qui fait peser de lourds soupçons de corruption sur sa personne. Cette situation a provoqué la radiation d’un agent pénitentiaire. M. Dacleu-Idrac reconnait avoir aidé des détenus devant la barre.  «J’ai la certitude qu’il est mon devoir de le faire, et je ne pense pas devoir m’excuser parce que je viens en aide à des familles ici, en payant des loyers, en achetant des médicaments, ou en subvenant aux besoins de ceux qui, en détention depuis des délais impossibles ne peuvent rien faire et sont inquiets pour leurs familles. Derrière ces gestes, il n’y a aucune volonté d’acheter des silences,  depuis cette histoire de mise en accusation, je n'ai pas cessé de faire ce que je faisais. » a-t-il soutenu lors du procès.

Nombreux sont ceux qui estiment que M. Dacleu-Idrac est victime d’un acharnement injustifié car après avoir annoncé une montagne de charges et crimes, après avoir laissé raconter les pires sottises sur lui, il n’y a rien à fouetter un chat. Maintenant, le plus difficile c’est de justifier devant l’opinion nationale et internationale sa longue détention. Pour cela, il faudra qu’ils trouvent les moyens pour masquer leur échec dans cette affaire qui lui a coûté plusieurs mois de détention. «Je pense que l’Etat Sénégalais peut être tranquille car je n’ai aucune intention de perdre encore plus sur mon temps pour ester en justice une procédure de détention abusive et poursuites fallacieuses. Je souhaite recouvrer ma liberté et voir mon équipage venir pour me ramener dans mon pays » confiait-il à ses conseillers. Il faut aussi dénoncer ce lynchage médiatique dont il fait l’objet depuis son arrestation abusive. On l'aurait même soupçonné de vouloir escroquer le pétrole du Sénégal qui sortirait du sous-sol en 2022, accusation dont il se moque à vive voix se demandant si les pourfendeurs savent de quoi ils parlent.
Aujourd’hui,  il est clair que la montagne a accouché d’une souris car le monsieur n’a commis aucun crime. M. Rilk Dacleu-Idrac n’a jamais été condamné ou même impliqué dans des crimes de sa vie. C’est de la pure invention de dire qu’il a eu dans l’avion une conversation téléphonique à laquelle il fait référence à Karim Wade. «Je ne comprends pas pourquoi je suis détenu depuis huit mois et demi en République du Sénégal sachant que je n’ai rien à voir avec l’activité politique de ce pays. Je ne fais pas de politique dans mes propres pays, c'est plus que stupide de penser que c'est au Sénégal que je viendrais me mêler d'activité politique. » s’est il exprimé lors du procès.
Le verdict du procès est très attendu ce 19 Avril 2018. La justice sera dite par des magistrats indépendants et honnêtes qui méritent la confiance des justiciables. De nos sources, il est à dire que Qatar Investment Authority suit avec grande attention cette affaire. 

LES PRECISIONS DE QATAR INVESTMENT AUTHORITY
The Qatar Investment Authority Group de concert avec toute son organisation juridique fait savoir aux médias nationaux et internationaux son soutien total et indéfectible à M. Rilk Dacleu-Idrac, Directeur Exécutif et Président de la division Qatara Global pour le procès auquel il fait face en République du Sénégal suite à sa mise en accusation par la justice du dit pays au motif de présumés délits financiers.


Le Comite Juridique, sans revenir sur les charges et après une revue objective de l’affaire et des éléments d’enquête communiqués par la justice Sénégalaise réitère sa surprise quand aux faits évoqués et se désole de la mise en accusation à laquelle fait face M. Rilk Dacleu-Idrac ; mise en accusation qu’il dénonce être de motivation politique et en violation du droit international, car ne reposant sur aucune infraction ou manquement supposé à la loi commis par l’intéressé en République du Sénégal. QIA et l’ensemble de ses filiales restent solidaires de M. Dacleu-Idrac et entendent agir pour la préservation de ses droits et intérêts dans le cadre de cette procédure.


S’exprimant en tant qu’entité indépendante et autonome, Qatara Global informe avoir signifié ses réserves sérieuses et préoccupations aux autorités Qataris pour ce qui est de leurs gestion légère de cette crise. Le Groupe QIA bien que déplorant la retenue abusive et sans raison d’un citoyen Qatari dans un pays tiers se refuse à communiquer et n’émettra aucun commentaire sur le volet politique de cette mise en accusation ; demeure ferme sur son intention à n’engager aucune négociations ou marchandage en ce qui concerne cette affaire ; et informe avoir mis à disposition son entière équipe juridique pour le renfort de la défense de M. DacleuIdrac à son procès au Sénégal.


Il est à faire mention que durant les 6 mois d’enquête mené par la justice Sénégalaise, aucun des faits reprochés n’a pu être confirmés ou même avérés. Les Services de renseignements Camerounais et Américains ont transmis au Ministère des Affaires Etrangères du Sénégal le dossier de moralité de M. Dacleu-Idrac, il n’en ressort aucune condamnation ou antécédent pénal. Le Siège d’Interpol à Lyon, sur demande du Ministère de l’intérieur de l’Etat du Qatar, a confirmé n’avoir jamais émis une demande d’arrestation, ni même avoir reçu une demande de recherche émanant d’un pays membre. L’ensemble de ces éléments ont été transmis aux autorités du Sénégal.


Au plan strictement juridique, il demeure constant, et les conclusions de la très longue enquête et investigations opérées par la justice sénégalaise le soutiennent ; que M. Rilk Dacleu-Idrac n’a posé aucun acte en violation de la loi – Sénégalaise ou Internationale – à son arrivée en République du Sénégal ; qu’il n’y dispose d’aucun actif financier ; qu’en plus de n’être ressortissant Sénégalais, n’y a pas de statut de résident ; qu’il n’y est lié à aucune activité économique et ne saurait par conséquent être assujetti à sa juridiction fiscale ; que ses actifs financiers et intérêts économiques ne sont en aucune manière liés à la République du Sénégal… Tout cela rendant invraisemblable et irrationnel la panoplie d’infractions annoncées à son encontre. Tout aussi, M. Dacleu-Idrac n’ayant jamais vécu en République du Sénégal ne saurait être lié ou accointé à un parti politique ou organisation assimilée opérant dans ce pays.


La défense de M. Dacleu-Idrac tient à confirmer aux médias nationaux et internationaux que les informations rapportées à son encontre sont complètement inexactes et de nature calomnieuses, distillées sans vérification des faits ; et décrie les «Fakes News» susceptibles de discréditer son procès. Les conseils Juridiques de M. Dacleu-Idrac font savoir que ce dernier est aussi citoyen de l’état de Saint-Kitts & Nevis ; que sa multi-nationalité ne peut être considérée comme un délit ; réaffirme que l’utilisation de cette citoyenneté comme abris fiscal ou dans le cadre d’un procédé d’optimisation fiscale n’est en aucune manière une violation de la loi au point de vue fiscal pour ses autres pays, et ne saurait aucunement être motif à charge, ni représenté une volonté d’escroquerie pour la justice Sénégalaise d’autant plus que cette dernière n’est en rien concernée par la vie privée d’un ressortissant étranger.


M. Rilk Dacleu-Idrac reste en règle avec l’ «Internal Revenue Services» du Département du Trésor Américain, son administration fiscale d’origine ; et il reste évident que ses actifs financiers et/ou intérêts économiques ne sont en rien du ressort de la République du Sénégal ou de la justice Sénégalaise. Les conseils Juridiques de M. Dacleu-Idrac se déclarent ravis de l’opportunité enfin donnée pour ouvrir sa défense, suite à toutes les hérésies suscitées par cette affaire. Ils tiennent particulièrement à exprimer leurs considérations à leurs confrères Sénégalais à l’œuvre sur place pour l’avancement de la procédure et se réjouissent de leurs arrivées dans le pays pour la tenue de ce procès qu’il considère comme un affront ne rendant nullement hommage à la tradition et l’historique démocratique de la République du Sénégal.


S’agissant des propos «alternatifs» et diffamants rapportés par certains médias Sénégalais ces derniers jours, les conseils de M. Rilk  Dacleu-Idrac annoncent avoir recommandé à leurs confrères Sénégalais d’effectuer dans les délais les plus bref un dépôt de plainte pour calomnie et diffamation grave à l’encontre des organes de presse ayant participés à la propagation de faits hautement inexacts et discréditant, en ignorance complète du code de déontologie de la profession requérant vérification de ces derniers ; rappellent que les articles sources sont réputés «Fake News» et proviennent de sites internet à vocation parodiques tout en insistant sur le fait que ces derniers ont déjà été condamnés à procéder au retrait des articles en question par les justices de l’Etat du Qatar, de l’Union Européenne, du Royaume-Uni, de la République de Singapour, de la République du Ghana, et celle des Etats-Unis d’Amérique.

Les Infractions et l’ensemble de la procédure étant de nature cabalistiques et à assimilées à de la fantaisie, The Qatar Investment Authority Group appelle les autorités de justice du Sénégal à agir en conformité et respect du droit international ; et affirme son engagement à faire dire le droit en République du Sénégal et devant les juridictions internationales si besoin est.
DAKARTIMES
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