Zinédine Zidane voudrait diriger l'équipe de France. Pour le moment, elle ressemble à un mirage. Et pourquoi pas le Brésil ? L'ancien numéro 10 des Bleus a la cote de l'autre côté de l'Atlantique et la CBF a inscrit son nom sur une short list de techniciens susceptibles de prendre la suite de Tite. Etranger, mais un peu brésilien quand même, Zizou coche pas mal de cases.
l est leur bourreau préféré. Le seul qui les a fait trébucher mais qu'ils aiment quand même. Parce qu'il est brésilien, à sa manière. Parce qu'il rappelle au Brésil les plus grands de ses talents, uniques comme lui. A l'heure où la saudade a enveloppé le pays, avec la disparition du Roi et que l'équipe nationale a une nouvelle fois échoué dans sa quête d'éternité, il pourrait être un recours, cette fois. Zinédine Zidane est une ombre, bienveillante, qui plane actuellement au-dessus du Brésil.
En ce début d'année 2023, Zidane et le Brésil se retrouvent dans une situation analogue. L'ancien entraîneur du Real Madrid se languit d'une équipe de France qui n'en finit pas de lui échapper. Depuis 2018, année de son premier stop avec le Real, à ce début d'année 2023, qui lui semblait propice pour prendre la suite de Didier Deschamps, ZZ patiente en salle d'attente. La sélection auriverde, elle, s'est ramassée et débarquera au prochain Mondial avec le ventre creux : vingt-quatre ans sans couronne planétaire. Elle n'avait connu ça qu'entre 1970 et 1994 et son estomac avait alors sacrément gargouillé.
l est leur bourreau préféré. Le seul qui les a fait trébucher mais qu'ils aiment quand même. Parce qu'il est brésilien, à sa manière. Parce qu'il rappelle au Brésil les plus grands de ses talents, uniques comme lui. A l'heure où la saudade a enveloppé le pays, avec la disparition du Roi et que l'équipe nationale a une nouvelle fois échoué dans sa quête d'éternité, il pourrait être un recours, cette fois. Zinédine Zidane est une ombre, bienveillante, qui plane actuellement au-dessus du Brésil.
En ce début d'année 2023, Zidane et le Brésil se retrouvent dans une situation analogue. L'ancien entraîneur du Real Madrid se languit d'une équipe de France qui n'en finit pas de lui échapper. Depuis 2018, année de son premier stop avec le Real, à ce début d'année 2023, qui lui semblait propice pour prendre la suite de Didier Deschamps, ZZ patiente en salle d'attente. La sélection auriverde, elle, s'est ramassée et débarquera au prochain Mondial avec le ventre creux : vingt-quatre ans sans couronne planétaire. Elle n'avait connu ça qu'entre 1970 et 1994 et son estomac avait alors sacrément gargouillé.