Le Collectif des cadres casamançais (CCC) n’est pas resté insensible aux opérations de sécurisation enclenchées par l’Armée sénégalaise en Casamance. Dans un communiqué signé de l’architecte Pierre Goudiaby Atépa, le Collectif souligne « qu’un tel regain de confrontations violentes, aurait pu être évité et qu'à l'heure actuelle », et que « le retour d'une paix définitive en Casamance devrait être la priorité et la préoccupation pour tous ».
Le texte précise que « ces opérations sécuritaires » entreprises par « nos forces armées sont perçues comme une remise en cause du modus vivendi caractérisé » par une assez longue accalmie dans les confrontations violentes entre I'Armée sénégalaise et les combattants du Mouvement des Forces Démocratiques de Casamance (MFDC).
Même si M. Goudiaby et compagnie déplorent la méthode utiliser par l'Armée, il n'en déplore pas moins que les extractions perpétrées par des bandes armées contre les populations locales sont "inacceptable". « C'est tout simplement inacceptable, tout comme il est inacceptable que des individus s'opposent par la force au retour sur leurs terres des personnes réfugiées en Gambie ou en Guinée-Bissau », écrivent-ils.
Le CCC après avoir donné ses appréciations sur la question sécuritaire et du ratissage de l’Armée dans la zone sud-est de la Casamance, entre les départements de Ziguinchor et Goudomp, Pierre Goudiaby Atépa a présenté les cinq recommandations du collectif à l’Armée et à l’Etat du Sénégal.
Le Mouvement approuve les opérations sécuritaires récemment menées dans la zone militaire N°5 en vue de restaurer l'autorité de l'Etat partout au Sénégal. Par la même occasion, il demande à I'Armée de veiller et de sauvegarder les acquis en proposant que le chef de I'Etat, renouvelle son appel pour « la paix des braves», pour des négociations de sortie de crise.
Sommant ainsi, au chef de l'Etat « à prendre des dispositions concrètes pour aller résolument vers la fin des hostilités». Le Groupe de réflexion pour la paix en Casamance (GRPC) est invité à intensifier ses démarches auprès du MFDC en vue de l'amener, à la signature d'un accord de paix pour une résolution définitive du conflit.
Pour finir, le Mouvement invite I'Agence Nationale pour la relance des Activités économiques et Sociales (ANRAC) à trouver les moyens auprès de ses bailleurs pour poursuivre les actions de soutien et d'accompagnement qu'elle apporte aux personnes déplacées.
Pressafrik.com
Le texte précise que « ces opérations sécuritaires » entreprises par « nos forces armées sont perçues comme une remise en cause du modus vivendi caractérisé » par une assez longue accalmie dans les confrontations violentes entre I'Armée sénégalaise et les combattants du Mouvement des Forces Démocratiques de Casamance (MFDC).
Même si M. Goudiaby et compagnie déplorent la méthode utiliser par l'Armée, il n'en déplore pas moins que les extractions perpétrées par des bandes armées contre les populations locales sont "inacceptable". « C'est tout simplement inacceptable, tout comme il est inacceptable que des individus s'opposent par la force au retour sur leurs terres des personnes réfugiées en Gambie ou en Guinée-Bissau », écrivent-ils.
Le CCC après avoir donné ses appréciations sur la question sécuritaire et du ratissage de l’Armée dans la zone sud-est de la Casamance, entre les départements de Ziguinchor et Goudomp, Pierre Goudiaby Atépa a présenté les cinq recommandations du collectif à l’Armée et à l’Etat du Sénégal.
Le Mouvement approuve les opérations sécuritaires récemment menées dans la zone militaire N°5 en vue de restaurer l'autorité de l'Etat partout au Sénégal. Par la même occasion, il demande à I'Armée de veiller et de sauvegarder les acquis en proposant que le chef de I'Etat, renouvelle son appel pour « la paix des braves», pour des négociations de sortie de crise.
Sommant ainsi, au chef de l'Etat « à prendre des dispositions concrètes pour aller résolument vers la fin des hostilités». Le Groupe de réflexion pour la paix en Casamance (GRPC) est invité à intensifier ses démarches auprès du MFDC en vue de l'amener, à la signature d'un accord de paix pour une résolution définitive du conflit.
Pour finir, le Mouvement invite I'Agence Nationale pour la relance des Activités économiques et Sociales (ANRAC) à trouver les moyens auprès de ses bailleurs pour poursuivre les actions de soutien et d'accompagnement qu'elle apporte aux personnes déplacées.
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