Un rebondissement sur le cas de l’affaire Hissène Habré, ancien Président du Tchad, condamné au Sénégal en 2015. En effet, les Nations Unies s’opposent à son éventuelle permission de sortie de 6 mois de l’ex Président tchadien déchu. Dans une lettre adressée au gouvernement sénégalais, l’Onu laisse entendre que les personnes condamnées pour crimes contre l’humanité ne sauraient faire l’objet de « libération prématurée ».
Le "Quotidien" rappelle que Un rebondissement sur le cas de l’affaire Hissène Habré, ancien Président du Tchad, condamné au Sénégal en 2015. En effet, les Nations Unies s’opposent à son éventuelle permission de sortie de 6 mois de l’ex Président tchadien déchu. Dans une lettre adressée au gouvernement sénégalais, l’Onu laisse entendre que les personnes condamnées pour crimes contre l’humanité ne sauraient faire l’objet de « libération prématurée ».
