Après sa double exfiltration vers Dakar puis Brazzaville, comme l’avait révélé en exclusivité Confidentiel Afrique, l’ancien président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embaló poursuit un déplacement sous haute surveillance. Selon des informations concordantes recueillies par Confidentiel Afrique, le dirigeant déchu aurait finalement gagné Casablanca et non Rabat sur initiative de l’ancien président sénégalais Macky Sall, avant de se retirer dans une villa à Marrakech.
Contrairement aux informations largement relayées ces dernières 24 heures, Embaló ne séjournerait pas dans la résidence qu’il avait fait construire à Rabat. Selon les sources autorisées consultées, il aurait plutôt pris ses quartiers dans l’une de ses propriétés de Casablanca, une ville où il est considéré comme un visiteur régulier. Son arrivée, en compagnie de son chambellan Cálifa Suarès alias Casoca, a eu lieu mercredi en début de soirée après un passage par Brazzaville.
Dès son installation dans la capitale économique marocaine, le cabinet royal lui aurait fait part d’un strict “code de conduite” à observer durant toute la durée de son séjour. Une précaution d’usage, expliquent des sources marocaines, dans la mesure où Umaro Sissoco Embaló ne possède ni nationalité marocaine ni titre de séjour permanent. Ses passages répétés dans le pays seraient néanmoins connus et suivis de près par les autorités.
Toujours selon des sources informées, les services de renseignement marocains surveilleraient attentivement ses déplacements, afin d’éviter tout comportement jugé “anticonformiste”.
Ce départ précipité du Congo serait dû au fait que la présence d’Embaló commençait à gêner le premier cercle du “shadow cabinet” du président Denis Sassou N’Guesso. Une situation qui aurait accéléré son transfert vers le Maroc, sous facilitation directe de Macky Sall.
Selon des informations crédibles obtenues par Confidentiel Afrique, l’ancien chef de l’État sénégalais aurait joué un rôle central dans l’organisation du déplacement d’Embaló vers le Royaume chérifien. Cette médiation expliquerait en partie les conditions particulières entourant sa présence sur le territoire marocain.
Contrairement aux informations largement relayées ces dernières 24 heures, Embaló ne séjournerait pas dans la résidence qu’il avait fait construire à Rabat. Selon les sources autorisées consultées, il aurait plutôt pris ses quartiers dans l’une de ses propriétés de Casablanca, une ville où il est considéré comme un visiteur régulier. Son arrivée, en compagnie de son chambellan Cálifa Suarès alias Casoca, a eu lieu mercredi en début de soirée après un passage par Brazzaville.
Dès son installation dans la capitale économique marocaine, le cabinet royal lui aurait fait part d’un strict “code de conduite” à observer durant toute la durée de son séjour. Une précaution d’usage, expliquent des sources marocaines, dans la mesure où Umaro Sissoco Embaló ne possède ni nationalité marocaine ni titre de séjour permanent. Ses passages répétés dans le pays seraient néanmoins connus et suivis de près par les autorités.
Toujours selon des sources informées, les services de renseignement marocains surveilleraient attentivement ses déplacements, afin d’éviter tout comportement jugé “anticonformiste”.
Ce départ précipité du Congo serait dû au fait que la présence d’Embaló commençait à gêner le premier cercle du “shadow cabinet” du président Denis Sassou N’Guesso. Une situation qui aurait accéléré son transfert vers le Maroc, sous facilitation directe de Macky Sall.
Selon des informations crédibles obtenues par Confidentiel Afrique, l’ancien chef de l’État sénégalais aurait joué un rôle central dans l’organisation du déplacement d’Embaló vers le Royaume chérifien. Cette médiation expliquerait en partie les conditions particulières entourant sa présence sur le territoire marocain.

