Yasser Abou Shabab, chef d’une milice opposée au Hamas et figure controversée de Gaza, aurait été tué vendredi par des membres de son propre groupe, selon Times of Israël. L’homme aurait été grièvement blessé lors d’affrontements internes avant d’être transféré dans un hôpital israélien, où il est décédé.
Connu pour ses liens supposés avec Israël et accusé par certains de collaborer directement avec Tsahal, Abou Shabab divisait profondément : opportuniste pour les uns, acteur local incontournable pour d’autres. Paris Match, qui l’avait rencontré en juillet 2025, décrivait un personnage complexe, oscillant entre image de justicier auto-proclamé et chef de milice accusé de pillage.
Lors de cet entretien, il assurait n’avoir créé son groupe que pour « défendre les droits humains des habitants de Gaza » et rejetait toute accusation de violence contre les civils, se présentant comme l’antithèse du Hamas.
Sa mort, survenue dans un contexte de conflit interne, met en lumière les fractures profondes au sein des groupes armés de Gaza et l’ambiguïté qui entourait son rôle réel dans la région.
Connu pour ses liens supposés avec Israël et accusé par certains de collaborer directement avec Tsahal, Abou Shabab divisait profondément : opportuniste pour les uns, acteur local incontournable pour d’autres. Paris Match, qui l’avait rencontré en juillet 2025, décrivait un personnage complexe, oscillant entre image de justicier auto-proclamé et chef de milice accusé de pillage.
Lors de cet entretien, il assurait n’avoir créé son groupe que pour « défendre les droits humains des habitants de Gaza » et rejetait toute accusation de violence contre les civils, se présentant comme l’antithèse du Hamas.
Sa mort, survenue dans un contexte de conflit interne, met en lumière les fractures profondes au sein des groupes armés de Gaza et l’ambiguïté qui entourait son rôle réel dans la région.

