Le président élu des Etats-Unis Donald Trump a affirmé samedi qu'il ferait "tout" pour contribuer à la "liberté" du peuple cubain après la mort de Fidel Castro, mais sans rien dire de la politique d'ouverture de son prédécesseur Barack Obama.
Le milliardaire républicain, qui entrera à la Maison Blanche le 20 janvier, a jugé dans un communiqué que le père de la Révolution cubaine décédé vendredi à l'âge de 90 ans était "un dictateur brutal qui a opprimé son peuple".
"Bien que les tragédies, les morts et la souffrance provoquées par Fidel Castro ne puissent pas être effacées, notre administration fera tout ce qu'elle pourra pour s'assurer que le peuple cubain puisse enfin commencer son cheminement vers la prospérité et la liberté", ajoute Donald Trump, s'associant aux Américains d'origine cubaine dans "l'espoir de voir bientôt Cuba libre".
Il souligne au passage avoir reçu le soutien de "nombreux Américains d'origine cubaine" lors de l'élection du 8 novembre.
Nouvel Obs
Le milliardaire républicain, qui entrera à la Maison Blanche le 20 janvier, a jugé dans un communiqué que le père de la Révolution cubaine décédé vendredi à l'âge de 90 ans était "un dictateur brutal qui a opprimé son peuple".
"Bien que les tragédies, les morts et la souffrance provoquées par Fidel Castro ne puissent pas être effacées, notre administration fera tout ce qu'elle pourra pour s'assurer que le peuple cubain puisse enfin commencer son cheminement vers la prospérité et la liberté", ajoute Donald Trump, s'associant aux Américains d'origine cubaine dans "l'espoir de voir bientôt Cuba libre".
Il souligne au passage avoir reçu le soutien de "nombreux Américains d'origine cubaine" lors de l'élection du 8 novembre.
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