L’Alliance Pour la République (APR) hausse le ton. Dans un communiqué publié le 5 décembre 2025, le Secrétariat Exécutif National (SEN) affirme que la défense de l’État de droit et des libertés démocratiques demeure “plus que jamais à l'ordre du jour”. Le parti dit prendre acte de la décision rendue la veille par la Chambre d’accusation, confirmant la mise en résidence surveillée de Badara Gadiaga.
Le SEN estime que ce dernier “n’aurait jamais dû être dans les liens de la détention”, dénonçant une série d’atteintes aux droits fondamentaux orchestrées, selon eux, par le pouvoir en place. Le communiqué va plus loin, accusant le Président du Pastef de vouloir “instaurer une autocratie au Sénégal”.
En évoquant d’autres responsables politiques en détention ou sous contrainte judiciaire, le parti au pouvoir avant 2024 dénonce ce qu’il qualifie d’“otages politiques”. Sont notamment cités : Pape Malick Ndour, Ismaïla Madior Fall, Lat Diop, Mawdo Malick Mbaye, Moustapha Diop, Sophie Gladima et Ndèye Sally Diop. L’APR exige “la fin de toutes les contraintes” pesant sur eux.
Le communiqué insiste également sur le cas de l’Honorable Farba Ngom, dont la détention est jugée injustifiée. Le SEN parle d’un “véritable otage d’État”, dénonçant son maintien en détention “au mépris des avis médicaux le concernant”.
L’APR interpelle la communauté nationale et internationale, affirmant que les risques sanitaires liés à la détention de leurs responsables sont en “contradiction flagrante avec l'incompatibilité” de leur état de santé. Le parti prévient : “Le pouvoir sera tenu pour responsable de tout ce qui pourrait lui arriver.”
Le SEN estime que ce dernier “n’aurait jamais dû être dans les liens de la détention”, dénonçant une série d’atteintes aux droits fondamentaux orchestrées, selon eux, par le pouvoir en place. Le communiqué va plus loin, accusant le Président du Pastef de vouloir “instaurer une autocratie au Sénégal”.
En évoquant d’autres responsables politiques en détention ou sous contrainte judiciaire, le parti au pouvoir avant 2024 dénonce ce qu’il qualifie d’“otages politiques”. Sont notamment cités : Pape Malick Ndour, Ismaïla Madior Fall, Lat Diop, Mawdo Malick Mbaye, Moustapha Diop, Sophie Gladima et Ndèye Sally Diop. L’APR exige “la fin de toutes les contraintes” pesant sur eux.
Le communiqué insiste également sur le cas de l’Honorable Farba Ngom, dont la détention est jugée injustifiée. Le SEN parle d’un “véritable otage d’État”, dénonçant son maintien en détention “au mépris des avis médicaux le concernant”.
L’APR interpelle la communauté nationale et internationale, affirmant que les risques sanitaires liés à la détention de leurs responsables sont en “contradiction flagrante avec l'incompatibilité” de leur état de santé. Le parti prévient : “Le pouvoir sera tenu pour responsable de tout ce qui pourrait lui arriver.”

