La 3ème édition des Journées Scientifiques du SIDA, a ouvert ses portes ce 1 novembre au Centre International de Conférence Abdou Diouf (CICADsur le thème "Place de la science dans la préparation aux pandémies et renforcement des systèmes de santé". Les acteurs de la santé ont mis en exergue la préparation aux pandémies et renforcement du système de santé pendant leur rencontre avec les journalistes.
« Les laboratoires sont une partie intégrante du système de santé. Il y a des laboratoires de biologie privée agrégés par le ministre de la Santé et de l'Action Sociale qui sont principalement à Dakar, mais il y'en a qui existent dans d'autres régions comme Saint-Louis et les acteurs seront impliqués dans ce processus d'élaboration et de validation de ce programme spécial de développement des laboratoires », a d’emblée fait savoir le professeur, Amadou Moctar Dièye. À l’en croire, « les vaccins sont des médicaments à part, produits par lot et pour chaque vaccin, il y a un processus de production particulier et doit répondre aux normes d'utilisation comme la stabilité, la stabilité. » « Pour produire les vaccins, il y a un accompagnement fort qui doit être mené au niveau de l'agence de réglementation pharmaceutique qui héberge le volet laboratoire pour qu'on ait des laboratoires de niveau très élevé, pour pouvoir régulièrement contrôler les vaccins et les libérer pour les populations puissent en bénéficier cordialement », a-t-il ajouté.
Pour Dr Khoudia, SOW, médecin anthropologue au Centre de Recherche et de Formation à la (PEC), 80% des personnes interrogées ont rejeté le vaccin contre la COVID 19. Ce qui lui fait dire qu’il y a une forte méfiance vis-à-vis de ce vaccin. Ainsi, recommande-t-il de mettre l’accent sur la mobilisation communautaire. En clair, « mettre un dispositif extrêmement important où les acteurs communautaires et les organisations de la société civile qui ont déjà une expérience dans la mobilisation », a-t-elle argué.
DIANA DIA
« Les laboratoires sont une partie intégrante du système de santé. Il y a des laboratoires de biologie privée agrégés par le ministre de la Santé et de l'Action Sociale qui sont principalement à Dakar, mais il y'en a qui existent dans d'autres régions comme Saint-Louis et les acteurs seront impliqués dans ce processus d'élaboration et de validation de ce programme spécial de développement des laboratoires », a d’emblée fait savoir le professeur, Amadou Moctar Dièye. À l’en croire, « les vaccins sont des médicaments à part, produits par lot et pour chaque vaccin, il y a un processus de production particulier et doit répondre aux normes d'utilisation comme la stabilité, la stabilité. » « Pour produire les vaccins, il y a un accompagnement fort qui doit être mené au niveau de l'agence de réglementation pharmaceutique qui héberge le volet laboratoire pour qu'on ait des laboratoires de niveau très élevé, pour pouvoir régulièrement contrôler les vaccins et les libérer pour les populations puissent en bénéficier cordialement », a-t-il ajouté.
Pour Dr Khoudia, SOW, médecin anthropologue au Centre de Recherche et de Formation à la (PEC), 80% des personnes interrogées ont rejeté le vaccin contre la COVID 19. Ce qui lui fait dire qu’il y a une forte méfiance vis-à-vis de ce vaccin. Ainsi, recommande-t-il de mettre l’accent sur la mobilisation communautaire. En clair, « mettre un dispositif extrêmement important où les acteurs communautaires et les organisations de la société civile qui ont déjà une expérience dans la mobilisation », a-t-elle argué.
DIANA DIA