Le chef de l'État a reçu une gifle de la part d'un homme ce mardi, alors qu'il était en déplacement dans la Drôme. BFMTV a obtenu de nouvelles images de l'agression.
Lors d'un déplacement à Tain-l'Hermitage dans la Drôme ce mardi, Emmanuel Macron a été giflé au moment où il s'approchait d'une foule de personnes qui l'attendait dans le cadre de son "tour de France des territoires". BFMTV a obtenu de nouvelles images de l'agression tournées sous un angle différent.
Sur cette vidéo, on peut apercevoir le président de la République, entouré de trois gardes du corps, courir en direction des gens qui l'attendent. Plusieurs personnes semblent heureuses de le voir et peuvent être entendues en train de l'appeler avec entrain: "Vite, vite, allez, venez-là !"
Deux hommes en garde à vue
Au moment où le chef de l'Etat se fait gifler par un homme vêtu d'un tee-shirt vert et avec des cheveux longs, on l'entend distinctement crier la phrase "Montjoie Saint-Denis, à bas la Macronie", une référence royaliste. Les personnes qui appelaient Emmanuel Macron pour qu'il vienne les voir, surprises, se mettent alors à crier: "Oulala", "Ils sont cons ou quoi?", "Honte, honte, honte!", "N'importe quoi !"...
L'homme à l'origine de la gifle est de son côté attrapé par des gendarmes. On peut le voir être traîné au sol par les militaires, qui le tiennent par les bras. À la fin de la vidéo, la personne en train de filmer, ou quelqu'un proche d'elle, lance alors au président: "Venez-là, on ne vous veut pas du mal." Ce dernier, malgré l'incident, continue de saluer les Français présents et de leur serrer la main.
Un Drômois de 28 ans, suspecté d'avoir giflé le président Emmanuel Macron lors d'un déplacement mardi à Tain l'Hermitage (Drôme), a été interpellé avec un homme originaire du département et du même âge qui l'accompagnait, selon le parquet.
"Les deux hommes interpellés sont deux Drômois âgés de 28 ans, inconnus de la justice", précise Alex Perrin, procureur de la République à Valence. "À ce stade des gardes à vue, leurs motivations ne sont pas connues", a ajouté le magistrat, sans préciser davantage le profil des suspects.
Lors d'un déplacement à Tain-l'Hermitage dans la Drôme ce mardi, Emmanuel Macron a été giflé au moment où il s'approchait d'une foule de personnes qui l'attendait dans le cadre de son "tour de France des territoires". BFMTV a obtenu de nouvelles images de l'agression tournées sous un angle différent.
Sur cette vidéo, on peut apercevoir le président de la République, entouré de trois gardes du corps, courir en direction des gens qui l'attendent. Plusieurs personnes semblent heureuses de le voir et peuvent être entendues en train de l'appeler avec entrain: "Vite, vite, allez, venez-là !"
Deux hommes en garde à vue
Au moment où le chef de l'Etat se fait gifler par un homme vêtu d'un tee-shirt vert et avec des cheveux longs, on l'entend distinctement crier la phrase "Montjoie Saint-Denis, à bas la Macronie", une référence royaliste. Les personnes qui appelaient Emmanuel Macron pour qu'il vienne les voir, surprises, se mettent alors à crier: "Oulala", "Ils sont cons ou quoi?", "Honte, honte, honte!", "N'importe quoi !"...
L'homme à l'origine de la gifle est de son côté attrapé par des gendarmes. On peut le voir être traîné au sol par les militaires, qui le tiennent par les bras. À la fin de la vidéo, la personne en train de filmer, ou quelqu'un proche d'elle, lance alors au président: "Venez-là, on ne vous veut pas du mal." Ce dernier, malgré l'incident, continue de saluer les Français présents et de leur serrer la main.
Un Drômois de 28 ans, suspecté d'avoir giflé le président Emmanuel Macron lors d'un déplacement mardi à Tain l'Hermitage (Drôme), a été interpellé avec un homme originaire du département et du même âge qui l'accompagnait, selon le parquet.
"Les deux hommes interpellés sont deux Drômois âgés de 28 ans, inconnus de la justice", précise Alex Perrin, procureur de la République à Valence. "À ce stade des gardes à vue, leurs motivations ne sont pas connues", a ajouté le magistrat, sans préciser davantage le profil des suspects.