Ousmane Sonko ne lâche pas prise. Il continue de parler de la situation financière difficile que le régime sortant de Macky Sall aurait laissée dans le pays. Lors de son discours, hier, au Forum de Davos d’été à Tianjin (Chine), le Premier ministre du Sénégal s’est encore revenu sur la dette et les finances publiques que le régime du Président Bassirou Diomaye Faye avait commandité dès son arrivée. Et, le leader de Pastef/Les Patriotes ne varie pas dans sa posture. Il affirme : « C’est encore à vérifier, un résultat, mais beaucoup moins réjouissant, puisque le déficit que nous avons remplacés héritent, quand nous remplacions le régime, tournait autour de 70 %, 74 %. Et quand nous avons fini l’audit, la dette avoisinait les 100 %. Le déficit budgétaire, qui était projeté à 4,5 %, a dépassé les 10 % et est arrivé à 14 % ».
Le nouveau régime avait délibérément choisi de faire cet audit et de rendre publics les résultats. Rappelant cette position prise très tôt dans leur avènement, Ousmane Sonko indique : « Nous avions la possibilité de ne pas révéler ces chiffres et de ne pas les publier, mais nous avons préféré dire la vérité au peuple sénégalais. Et cette vérité devait être dite à nos partenaires techniques et financiers, les bailleurs de fonds, le Fonds monétaire international, mais aussi les partenaires bilatéraux et les marchés. Mais, nous avons fait le pari de dire la vérité, d’abord à notre peuple ». Les tenants actuels du pouvoir ont pris cette position de droiture avec leur politique de transparence. Ce qui leur a valu la réaffirmation de l’intérêt de tous les partenaires internationaux, dont le Fonds monétaire international (Fmi). Là où son prédécesseur avait échoué, Ousmane Sonko, sur instruction du Président Bassirou Diomaye Faye, a su se faire entendre, selon lui, sur la nécessité de remettre l’économie sur les rails et la livrer au même temps aux Sénégalais et aux investisseurs. « Le Sénégal n’a pas besoin d’austérité. Nous n’allons pas aller dans cette direction », a rassuré le Premier ministre, selon qui le pays, en toute souveraineté, semble pourtant aller vers l’austérité. Le défi constant du pouvoir, c’est de continuer à libérer l’économie, à inciter l’investissement. Ousmane Sonko annonce, à cet effet, que le gouvernement est en train de discuter pour un nouveau programme avec le Fonds monétaire international (Fmi). Aussi, il les partenaires continuent à manifester beaucoup d’appétit et d’intérêt pour le Sénégal. Parallèlement, le chef du gouvernement sénégalais entend œuvrer à l’amélioration du climat des affaires au Sénégal.
Dans un message fort, Ousmane Sonko vante les avantages qu’offre notre pays pour des investissements projets. « Le Sénégal offre toutes les garanties d’un investissement sécurisé et profitable. Il a des atouts assez exceptionnels dans toute la zone de l’Afrique de l’Ouest », d’abord, mais aussi dans le monde en général. C’est la raison pour laquelle, rappelle-t-il, que le pays est dans le top 3 des pays qui attirent le plus d’investissements directs étrangers en Afrique et dans le top 5 des pays africains qui captent le plus de ressources des marchés », développe le Premier ministre sénégalais.
Le nouveau régime avait délibérément choisi de faire cet audit et de rendre publics les résultats. Rappelant cette position prise très tôt dans leur avènement, Ousmane Sonko indique : « Nous avions la possibilité de ne pas révéler ces chiffres et de ne pas les publier, mais nous avons préféré dire la vérité au peuple sénégalais. Et cette vérité devait être dite à nos partenaires techniques et financiers, les bailleurs de fonds, le Fonds monétaire international, mais aussi les partenaires bilatéraux et les marchés. Mais, nous avons fait le pari de dire la vérité, d’abord à notre peuple ». Les tenants actuels du pouvoir ont pris cette position de droiture avec leur politique de transparence. Ce qui leur a valu la réaffirmation de l’intérêt de tous les partenaires internationaux, dont le Fonds monétaire international (Fmi). Là où son prédécesseur avait échoué, Ousmane Sonko, sur instruction du Président Bassirou Diomaye Faye, a su se faire entendre, selon lui, sur la nécessité de remettre l’économie sur les rails et la livrer au même temps aux Sénégalais et aux investisseurs. « Le Sénégal n’a pas besoin d’austérité. Nous n’allons pas aller dans cette direction », a rassuré le Premier ministre, selon qui le pays, en toute souveraineté, semble pourtant aller vers l’austérité. Le défi constant du pouvoir, c’est de continuer à libérer l’économie, à inciter l’investissement. Ousmane Sonko annonce, à cet effet, que le gouvernement est en train de discuter pour un nouveau programme avec le Fonds monétaire international (Fmi). Aussi, il les partenaires continuent à manifester beaucoup d’appétit et d’intérêt pour le Sénégal. Parallèlement, le chef du gouvernement sénégalais entend œuvrer à l’amélioration du climat des affaires au Sénégal.
Dans un message fort, Ousmane Sonko vante les avantages qu’offre notre pays pour des investissements projets. « Le Sénégal offre toutes les garanties d’un investissement sécurisé et profitable. Il a des atouts assez exceptionnels dans toute la zone de l’Afrique de l’Ouest », d’abord, mais aussi dans le monde en général. C’est la raison pour laquelle, rappelle-t-il, que le pays est dans le top 3 des pays qui attirent le plus d’investissements directs étrangers en Afrique et dans le top 5 des pays africains qui captent le plus de ressources des marchés », développe le Premier ministre sénégalais.
Avec l'OBS