Depuis l'annonce du recrutement de l'ex capitaine de la gendarmerie, Seydina Oumar Touré par l'IAM, le régime Macky Sall ne cesse de manoeuvrer pour faire capoter ce contrat. Finalement le groupe scolaire a reculé.
"J’ai été contacté ce matin par la Direction de l’IAM qui a souhaité mettre un terme à notre collaboration pour des raisons que je préfère garder par respect pour cette grande école.
Je renouvelle encore une fois mes remerciements au Professeur Moustapha Mamba Guirassi et au groupe IAM pour la confiance. Il faut reconnaître qu’ils ont au moins essayé.
Cette pression sur l’IAM montre la vraie nature de l’homme politique africain qui combat ses propres citoyens. Où est la démocratie, où la liberté dans tout ça?", s'interroge le capitaine Touré.
Ne voulant pas baisser ses bras le brillant, enquêteurs, annonce : "Il est temps de grandir, il n’y a plus de colonisation, nous sommes entre compatriotes et ce pays nous appartient à nous tous. Quand on gouverne un pays libre, on ne combat pas ses citoyens, il faut les assister et les protéger quelles que soient leurs appartenances politiques et religieuses. Je pense que je vais repartir chez moi à Kolda, acheter mes bœufs et cultiver. Là aussi je me demande s’ils ne viendront pas confisquer les terres et les animaux, ou même empêcher le ciel de pleuvoir."
"J’ai été contacté ce matin par la Direction de l’IAM qui a souhaité mettre un terme à notre collaboration pour des raisons que je préfère garder par respect pour cette grande école.
Je renouvelle encore une fois mes remerciements au Professeur Moustapha Mamba Guirassi et au groupe IAM pour la confiance. Il faut reconnaître qu’ils ont au moins essayé.
Cette pression sur l’IAM montre la vraie nature de l’homme politique africain qui combat ses propres citoyens. Où est la démocratie, où la liberté dans tout ça?", s'interroge le capitaine Touré.
Ne voulant pas baisser ses bras le brillant, enquêteurs, annonce : "Il est temps de grandir, il n’y a plus de colonisation, nous sommes entre compatriotes et ce pays nous appartient à nous tous. Quand on gouverne un pays libre, on ne combat pas ses citoyens, il faut les assister et les protéger quelles que soient leurs appartenances politiques et religieuses. Je pense que je vais repartir chez moi à Kolda, acheter mes bœufs et cultiver. Là aussi je me demande s’ils ne viendront pas confisquer les terres et les animaux, ou même empêcher le ciel de pleuvoir."