A cause de son audace, Mansour Faye en a pris pour son grade. L’édile de Saint-Louis qui veut vaille que vaille rebaptiser l’avenue Charles de Gaulle au nom de Macky Sall est descendu en flammes par Pr Mary Teuw Niane. L’ancien ministre de l’Enseignement Supérieur dira que «les petites gens peuvent avoir de grandes idées, par contre, les gens petits ont toujours de petites idées».
L’universitaire se demande comment, à la fin de cette année 2020, penser un seul instant donner le nom d’un monument, d’une place, d’une rue, d’une avenue, d’un bâtiment, d’une école, d’une université, etc. à un président de la République en exercice. Donnant une leçon de bienséance à Mansour Faye, il indique que la reconnaissance qu’on peut lui (Macky Sall, Ndlr) apporter, c’est de soutenir ses actions au service des populations, du pays et de l’Afrique.
Pour Mary Teuw Niane, lorsque le président de la République aura quitté le pouvoir, alors viendra, en toute indépendance, en toute honnêteté et avec le détachement qui sied, le moment de la grande évaluation, de la reconnaissance éternelle, des lauriers, des couronnes serties d’or, de son nom attribué à des infrastructures emblématiques du pays et surtout cet amour, à nul autre pareil, d’un peuple qui porte un Président dans son cœur.
Il termine son propos en tirant une autre flèche à son frère de parti en soutenant que «les gens petits ont perdu les rois, les empereurs du passé et les présidents de la République de notre époque», faisant ainsi allusion à Mansour Faye.
L’universitaire se demande comment, à la fin de cette année 2020, penser un seul instant donner le nom d’un monument, d’une place, d’une rue, d’une avenue, d’un bâtiment, d’une école, d’une université, etc. à un président de la République en exercice. Donnant une leçon de bienséance à Mansour Faye, il indique que la reconnaissance qu’on peut lui (Macky Sall, Ndlr) apporter, c’est de soutenir ses actions au service des populations, du pays et de l’Afrique.
Pour Mary Teuw Niane, lorsque le président de la République aura quitté le pouvoir, alors viendra, en toute indépendance, en toute honnêteté et avec le détachement qui sied, le moment de la grande évaluation, de la reconnaissance éternelle, des lauriers, des couronnes serties d’or, de son nom attribué à des infrastructures emblématiques du pays et surtout cet amour, à nul autre pareil, d’un peuple qui porte un Président dans son cœur.
Il termine son propos en tirant une autre flèche à son frère de parti en soutenant que «les gens petits ont perdu les rois, les empereurs du passé et les présidents de la République de notre époque», faisant ainsi allusion à Mansour Faye.