Au moment où on célébrait religieusement ce vendredi 23 août 2019, le quarantième jour du décès de l'ancien président du Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct), Ousmane Tanor, son compagnon de lutte Amath Dansokho, ancien secrétaire général du Parti de l’Indépendance et du Travail(PIT). Il est est décédé hier.
A l’âge de 82 ans, l’ancien leader du Pit, Amath Dansokho, est le deuxième célèbre allié du Président Macky Sall à quitter ce bas monde. Le jour de l’enterrement de l’ancien Dg de la Fao, Jacques Diouf, à Saint-Louis du Sénégal, Plus d’un mois après l’autre grand soutien du chef de la majorité présidentielle, Ousmane Tanor Dieng. A quelques jours d’ailleurs du 40ème jour du rappel à Dieu de cet illustre fils de la République.
Amath Dansokho a toujours été un combattant qui avait en bandoulière sa foi en la démocratie, en la paix et en la liberté ; d’où son engagement à se mettre du côté des opprimés, des assoiffés de liberté d’expression et d’opinion. Le monde du travail, avec le décès de Dansokho, pleure aujourd’hui un allié infatigable.
Il aura dénoncé la «mal gouvernance» de Diouf en 1993. Ce qui lui coûtera d’être défénestré du gouvernement de majorité présidentielle élargie, dirigé par le Premier ministre Habib Thiam. «Après quarante ans de règne socialiste, il y avait urgence à tourner le dos au clientélisme», rappelle Wikipedia. Qui poursuit qu’il a toujours souhaité l’instauration d’un régime parlementaire.
A l’âge de 82 ans, l’ancien leader du Pit, Amath Dansokho, est le deuxième célèbre allié du Président Macky Sall à quitter ce bas monde. Le jour de l’enterrement de l’ancien Dg de la Fao, Jacques Diouf, à Saint-Louis du Sénégal, Plus d’un mois après l’autre grand soutien du chef de la majorité présidentielle, Ousmane Tanor Dieng. A quelques jours d’ailleurs du 40ème jour du rappel à Dieu de cet illustre fils de la République.
Amath Dansokho a toujours été un combattant qui avait en bandoulière sa foi en la démocratie, en la paix et en la liberté ; d’où son engagement à se mettre du côté des opprimés, des assoiffés de liberté d’expression et d’opinion. Le monde du travail, avec le décès de Dansokho, pleure aujourd’hui un allié infatigable.
Il aura dénoncé la «mal gouvernance» de Diouf en 1993. Ce qui lui coûtera d’être défénestré du gouvernement de majorité présidentielle élargie, dirigé par le Premier ministre Habib Thiam. «Après quarante ans de règne socialiste, il y avait urgence à tourner le dos au clientélisme», rappelle Wikipedia. Qui poursuit qu’il a toujours souhaité l’instauration d’un régime parlementaire.