Le scandale financier évoqué sur Walf TV continue de faire des vagues et s’invite désormais au sommet de l’État. Lors d’une émission, le journaliste-chroniqueur Pape Sané a mis en lumière une affaire impliquant des milliards de francs CFA, un homme d’affaires influent et un ministre de la République, suscitant un vif débat.
Interpellé sur le sujet à l’Assemblée nationale lors du vote du projet de loi sur la réglementation bancaire, le ministre des Finances, Cheikh Diba, a tenu à clarifier la position de son département. « Le ministère des Finances fait l’objet de nombreuses convoitises. Le débat est là. Nous n’allons pas entrer dans des considérations spécifiques, car l’affaire est entre les mains de la justice. Mais je peux vous assurer que nous partageons ces valeurs de transparence et de Jubël-Jubënti. Nous n’accepterons pas que le Président ou le Premier ministre ait plus de valeurs que nous. Que chacun prie pour son prochain… », a-t-il déclaré devant les députés.
Affirmant sa détermination à rester focalisé sur ses missions, Cheikh Diba a conclu : « Nous n’avons même pas le droit de ne pas atteindre les objectifs qui sont les nôtres. Je n’écoute pas ceux qui disent du négatif. L’essentiel pour moi, c’est d’avoir le sentiment du devoir accompli à ma mort. »
Interpellé sur le sujet à l’Assemblée nationale lors du vote du projet de loi sur la réglementation bancaire, le ministre des Finances, Cheikh Diba, a tenu à clarifier la position de son département. « Le ministère des Finances fait l’objet de nombreuses convoitises. Le débat est là. Nous n’allons pas entrer dans des considérations spécifiques, car l’affaire est entre les mains de la justice. Mais je peux vous assurer que nous partageons ces valeurs de transparence et de Jubël-Jubënti. Nous n’accepterons pas que le Président ou le Premier ministre ait plus de valeurs que nous. Que chacun prie pour son prochain… », a-t-il déclaré devant les députés.
Affirmant sa détermination à rester focalisé sur ses missions, Cheikh Diba a conclu : « Nous n’avons même pas le droit de ne pas atteindre les objectifs qui sont les nôtres. Je n’écoute pas ceux qui disent du négatif. L’essentiel pour moi, c’est d’avoir le sentiment du devoir accompli à ma mort. »