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Amadou Ba a dansé du "Riti" le jour de la radiation de Sonko: « C’est la réponse qu’il fallait apporter...»

Lundi 12 Septembre 2016

Pour Amadou Bâ, tout est clair. Ousmane Sonko n’a eu que ce qu’il mérite, car « on ne peut pas être un fonctionnaire de la République et passer tout son temps à s’attaquer à la première institution du pays qui est le Président de la République ». En marge de la prière de l’Aid-El-Kébir, le ministre des finances est d’avis que le patron du parti Pastef a cherché à se faire politiquement un nom en divulguant des secrets d’une administration. 
  
« Les  questions doivent d’abord se régler à l’intérieur des administrations. Notre administration fait partie des premières administrations a avoir un syndicat. Le cas Ousmane Sonko, j’en parle avec beaucoup de peine. Il a failli à plusieurs reprises à son obligation de réserve. Il a failli aussi à ses engagements vis-à-vis de l’Etat. En tant que haut fonctionnaire, nous sommes dépositaires de beaucoup d’informations, de beaucoup de secrets, chacun dans son domaine. Nous sommes dans un pays, où chacun dans la limite des responsabilités  qui lui sont confiées, détient un certain nombre de secrets. Il est alors inadmissible d’utiliser ces informations  surtout pour se faire un nom sur le plan politique. Cela est tout à fait répréhensible! » 
  
Fort de ce constat, Amadou Bâ estime que la radiation était la sanction la mieux indiquée et se saisit de l’occasion  pour se féliciter de la décision. 

« Le directeur des Impôts et des domaines  a pris le mesure qu’il fallait en le traduisant devant le conseil de discipline. Je voudrais, à ce niveau, féliciter  le directeur des Impôts et des domaines et dire qu’il a tout mon soutien et qu’il a le soutien de l’Etat. La commission de discipline a proposé sa radiation. C’est ce qui a été fait. C’est la réponse qu’il fallait apporter à la mesure des fautes qui ont été commises ». 
  
Amadou Bâ de reconnaître à Ousmane Sonko le droit de se défendre ou de demander la clémence du Président de la République. « Il a le droit de solliciter la grâce du Président ou de faire un recours au niveau de la justice. Ce n’est pas une opinion que l’on sanctionne. On a tout fait pour éviter cette situation, malheureusement, on était dans une spirale de surenchère médiatique », a-t-il conclu...


1.Posté par Evelyne le 12/09/2016 23:56
Amadou Ba, avant l'actuel régime, personne ne connaissait Amadou Ba. Demain fera jour puisque Dieu est juste. Qui sait demain quelle sera ta posture car le Président ne fera que 2 mandats si Dieu en décide(car son second mandat n'est point gagner d'avance) et les intellegents travaillent pour la postérité pour mettre à l'aise leur famille et leurs enfants. L'histoire retiendra que pour conserver ton poste, privilèges de ce bas monde, on fait du tort à un fils d'autrui, d'une famille d'autrui. Dieu est juste. Médites bien.

2.Posté par Yaakar le 13/09/2016 00:48
Le Sénégal est entre des mains qui utilisent leur position du pouvoir pour régler des comptes personnels. Mais nous ne sommes pas des dupes. Nous savons bien aussi apprécier. Vous êtes les tenants du pouvoir. Vous faites tout pour demeurer avec neddo ko bando mais le Sénégal est le Sénégal c'est à dire un pays de paix et de téranga.

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