La question du contrat d'armement, ayant coûté près de 45 milliards de francs au Sénégal, a été soulevée ce samedi à Somone par le ministre de l'Environnement et de la Transition écologique. Cet achat d'armes, impliquant l'homme d'affaires nigérien Aboubacar Hima, alias Petit Boubé, a eu lieu sous le régime de Macky Sall. Daouda Ngom a ainsi annoncé qu'un audit sera effectué.
M. Ngom a rappelé que ce dossier avait suscité de nombreuses controverses et précisé que, bien que son équipe vienne tout juste d'arriver, des audits seront entrepris. "Les Sénégalais seront informés des tenants et des aboutissants de ce projet d'équipements de la Direction des Eaux et Forêts et des Parcs nationaux ainsi que de la Direction des Aires marines protégées", a-t-il déclaré.
Le ministre a également abordé la question du trafic de bois, cause majeure de la déforestation, soulignant que cela constitue une problématique cruciale pour le nouveau gouvernement.
Il a assuré que des actions sont en cours pour éradiquer ce trafic, souvent perpétré avec la complicité des populations locales. "Il existe déjà des brigades aux frontières et des patrouilles conjointes entre les forces de défense et de sécurité et les services des Eaux et Forêts", a-t-il expliqué. En outre, des discussions sont en cours avec la Gambie pour une collaboration bilatérale visant à renforcer la lutte contre la déforestation.
Des nouvelles mesures seront également mises en œuvre pour intensifier la lutte contre ce fléau, a affirmé le ministre de l'Environnement.
senego
M. Ngom a rappelé que ce dossier avait suscité de nombreuses controverses et précisé que, bien que son équipe vienne tout juste d'arriver, des audits seront entrepris. "Les Sénégalais seront informés des tenants et des aboutissants de ce projet d'équipements de la Direction des Eaux et Forêts et des Parcs nationaux ainsi que de la Direction des Aires marines protégées", a-t-il déclaré.
Le ministre a également abordé la question du trafic de bois, cause majeure de la déforestation, soulignant que cela constitue une problématique cruciale pour le nouveau gouvernement.
Il a assuré que des actions sont en cours pour éradiquer ce trafic, souvent perpétré avec la complicité des populations locales. "Il existe déjà des brigades aux frontières et des patrouilles conjointes entre les forces de défense et de sécurité et les services des Eaux et Forêts", a-t-il expliqué. En outre, des discussions sont en cours avec la Gambie pour une collaboration bilatérale visant à renforcer la lutte contre la déforestation.
Des nouvelles mesures seront également mises en œuvre pour intensifier la lutte contre ce fléau, a affirmé le ministre de l'Environnement.
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