
Moderniser le secteur du transport est l'un des principaux objectifs du régime actuel, notamment pour réduire considérablement les accidents de la route. Pour y parvenir, le renouvellement du parc automobile est prévu, incluant l'introduction de voitures électriques. C’est l’un des projets phares de Seniranauto qui, après le succès des taxis hybrides, envisage de se lancer dans ce secteur crucial pour le pays.
Depuis plus de 10 ans, Seniranauto a installé une usine de fabrication de voitures à Thiès. Le directeur général, Hassan Zakiri, a rappelé le succès des véhicules hybrides après l’échec des modèles à essence, moins appréciés par les chauffeurs de taxi. « Nos véhicules ont été très bien accueillis sur le marché sénégalais, surtout pour le renouvellement du parc de taxis. À l'AIBD, nos véhicules ont grandement contribué à la propreté des lieux… Les gens adorent nos véhicules, mais nous savons que cela ne suffit pas pour réduire la pollution », a-t-il reconnu.
Pas seulement pour le transport urbain...
« C’est pourquoi, avec la nouvelle technologie de fabrication de véhicules électriques, notre maison mère à Téhéran, qui produit plus d’un million de voitures par an, a commencé une étude sur les voitures électriques il y a 3 ans. Ce projet, déjà couronné de succès, nous amène à annoncer le début prochain de l’assemblage de ces véhicules dans notre usine pour renouveler le parc de taxis au Sénégal, première phase de notre plan. Les particuliers et le transport urbain ne sont pas en reste », a-t-il ajouté.
Transfert de technologie...
Il a également souligné qu'ils se préparent dans le cadre du projet de soutien à la transition vers la mobilité électrique au Sénégal, en collaboration avec le CETUD. « Ce qui manque actuellement, ce sont les infrastructures de base, les autorisations et la capacité électrique nécessaire de la Senelec. Mais nous, de notre côté, sommes prêts, y compris pour le transfert de technologie. »
Ce projet en gestation nécessite visiblement l’intervention des nouvelles autorités. Hassan Zakiri a souligné que ce qui les a encouragés, c’est le discours du Président Bassirou Diomaye Faye et son équipe sur la gestion de l’environnement, le renouvellement du parc automobile, et l’autosuffisance. « Puisque nous sommes déjà au Sénégal avec une équipe majoritairement sénégalaise, pourquoi ne pas nous lancer comme nous l’avons fait avec les voitures hybrides ? »
Il a également souligné que l’avantage réside dans la capacité à produire des véhicules « made in Sénégal » pouvant être commercialisés dans toute la sous-région.
Depuis plus de 10 ans, Seniranauto a installé une usine de fabrication de voitures à Thiès. Le directeur général, Hassan Zakiri, a rappelé le succès des véhicules hybrides après l’échec des modèles à essence, moins appréciés par les chauffeurs de taxi. « Nos véhicules ont été très bien accueillis sur le marché sénégalais, surtout pour le renouvellement du parc de taxis. À l'AIBD, nos véhicules ont grandement contribué à la propreté des lieux… Les gens adorent nos véhicules, mais nous savons que cela ne suffit pas pour réduire la pollution », a-t-il reconnu.
Pas seulement pour le transport urbain...
« C’est pourquoi, avec la nouvelle technologie de fabrication de véhicules électriques, notre maison mère à Téhéran, qui produit plus d’un million de voitures par an, a commencé une étude sur les voitures électriques il y a 3 ans. Ce projet, déjà couronné de succès, nous amène à annoncer le début prochain de l’assemblage de ces véhicules dans notre usine pour renouveler le parc de taxis au Sénégal, première phase de notre plan. Les particuliers et le transport urbain ne sont pas en reste », a-t-il ajouté.
Transfert de technologie...
Il a également souligné qu'ils se préparent dans le cadre du projet de soutien à la transition vers la mobilité électrique au Sénégal, en collaboration avec le CETUD. « Ce qui manque actuellement, ce sont les infrastructures de base, les autorisations et la capacité électrique nécessaire de la Senelec. Mais nous, de notre côté, sommes prêts, y compris pour le transfert de technologie. »
Ce projet en gestation nécessite visiblement l’intervention des nouvelles autorités. Hassan Zakiri a souligné que ce qui les a encouragés, c’est le discours du Président Bassirou Diomaye Faye et son équipe sur la gestion de l’environnement, le renouvellement du parc automobile, et l’autosuffisance. « Puisque nous sommes déjà au Sénégal avec une équipe majoritairement sénégalaise, pourquoi ne pas nous lancer comme nous l’avons fait avec les voitures hybrides ? »
Il a également souligné que l’avantage réside dans la capacité à produire des véhicules « made in Sénégal » pouvant être commercialisés dans toute la sous-région.