Dans un arrêté du ministère de l’Éducation nationale, dont Dakaractu a obtenu une copie, les principes directeurs des règlements intérieurs des établissements publics et privés d’éducation et de formation au Sénégal sont définis.
Cet arrêté précise que les règlements intérieurs des établissements concernés, qu’ils soient publics ou privés, doivent se conformer aux principes directeurs établis par le ministère de l’Éducation nationale, en respectant les dispositions fondamentales de la Constitution de la République du Sénégal.
Les règlements intérieurs des établissements d’enseignement et de formation seront soumis à un contrôle d’approbation. Chaque règlement intérieur devra être validé par l’inspection d’académie, qui dispose d’un délai de 60 jours pour se prononcer sur sa conformité. Tout règlement intérieur non approuvé sera considéré comme non applicable, précise le ministre.
L’arrêté souligne également l’obligation de respecter les croyances religieuses, ce qui inclut l’acceptation du port de signes religieux tels que le voile, la croix ou les perles sacrées, sans nuire à l’identification claire des élèves au sein de l’établissement, dans les classes et lors des activités pédagogiques. Toutefois, ce respect de la diversité religieuse n’exempte pas les élèves de participer aux activités pédagogiques et sportives obligatoires, à moins qu’une dispense justifiée ne soit accordée.
Cet arrêté précise que les règlements intérieurs des établissements concernés, qu’ils soient publics ou privés, doivent se conformer aux principes directeurs établis par le ministère de l’Éducation nationale, en respectant les dispositions fondamentales de la Constitution de la République du Sénégal.
Les règlements intérieurs des établissements d’enseignement et de formation seront soumis à un contrôle d’approbation. Chaque règlement intérieur devra être validé par l’inspection d’académie, qui dispose d’un délai de 60 jours pour se prononcer sur sa conformité. Tout règlement intérieur non approuvé sera considéré comme non applicable, précise le ministre.
L’arrêté souligne également l’obligation de respecter les croyances religieuses, ce qui inclut l’acceptation du port de signes religieux tels que le voile, la croix ou les perles sacrées, sans nuire à l’identification claire des élèves au sein de l’établissement, dans les classes et lors des activités pédagogiques. Toutefois, ce respect de la diversité religieuse n’exempte pas les élèves de participer aux activités pédagogiques et sportives obligatoires, à moins qu’une dispense justifiée ne soit accordée.