L’association «Vision pour le développement» a lancé son mouvement pour soutenir les jeunes de la Médina et d’ailleurs en quête d’emplois. Elle a débuté par une formation en entreprenariat pour lutter contre le chômage dans ce quartier de Dakar.
La structure a été officiellement lancée samedi dernier, à travers un panel de formation à la Maison de la Culture Douta Seck.
Selon sa présidente, Ndéye Yacine Ndione : «l’objectif est de mettre les partenaires en synergie pour mieux former les jeunes pour l’emploi. L’association a été créée depuis 2010 et a commencé par le nettoyage des quartiers en mobilisant les jeunes. Nous avons décidé de lancer aujourd’hui le avec les autorités Médina pour avoir une autre vision de développement », a-t-elle dit.
Ndéye Yacine Ndione n’a pas manqué de déplorer l’absence des autorités politiques de la Médina qui ont brillé par leur absence. «Elles ne sont pas venues. Nous ne faisons pas de la politique pour accompagner les partis, nous voulons juste éveiller les jeunes, les former pour qu’ils bénéficient de financements », fait-elle savoir. Et de renchérir: «S’ils n’ont pas de formation, ils ne pourront rien gérer, nous avons beaucoup d’ambition, il faut que les autorités nous accompagnent afin d’instaurer une solidarité et une discussion entre les autorités et les jeunes». A l’en croire, beaucoup de jeunes de la Médina sont en chômage et manquent d’orientation. « Les jeunes de Popenguine et de Ndayane sont venus se joindre à nous pour s’inspirer de ce modèle. Nous ne voulons pas qu’on nous donne de l’argent et qu’on se le partage, c’est de mieux de nous former sur une activité créatrice d’emplois. On peut développer de petits commerces très modernes, la transformation de fruits et légumes entre autres. Et financer ceux qui ont des projets », renseigne-t-elle.
De l’avis du formateur en entreprenariat et gestion d’entreprise Oumar Diatta, cette formation permet d’améliorer le quotidien des populations. «Les jeunes ont besoin d’emplois et la formation est une bonne chose pour accéder à l’emploi. Nous allons les capaciter au lieu que l’association trouve toujours de l’argent pour les dépanner. C’est une première formation pour leur permettre de créer la valeur, de la richesse et de pouvoir gérer leur propre activité », dit-il.
La structure a été officiellement lancée samedi dernier, à travers un panel de formation à la Maison de la Culture Douta Seck.
Selon sa présidente, Ndéye Yacine Ndione : «l’objectif est de mettre les partenaires en synergie pour mieux former les jeunes pour l’emploi. L’association a été créée depuis 2010 et a commencé par le nettoyage des quartiers en mobilisant les jeunes. Nous avons décidé de lancer aujourd’hui le avec les autorités Médina pour avoir une autre vision de développement », a-t-elle dit.
Ndéye Yacine Ndione n’a pas manqué de déplorer l’absence des autorités politiques de la Médina qui ont brillé par leur absence. «Elles ne sont pas venues. Nous ne faisons pas de la politique pour accompagner les partis, nous voulons juste éveiller les jeunes, les former pour qu’ils bénéficient de financements », fait-elle savoir. Et de renchérir: «S’ils n’ont pas de formation, ils ne pourront rien gérer, nous avons beaucoup d’ambition, il faut que les autorités nous accompagnent afin d’instaurer une solidarité et une discussion entre les autorités et les jeunes». A l’en croire, beaucoup de jeunes de la Médina sont en chômage et manquent d’orientation. « Les jeunes de Popenguine et de Ndayane sont venus se joindre à nous pour s’inspirer de ce modèle. Nous ne voulons pas qu’on nous donne de l’argent et qu’on se le partage, c’est de mieux de nous former sur une activité créatrice d’emplois. On peut développer de petits commerces très modernes, la transformation de fruits et légumes entre autres. Et financer ceux qui ont des projets », renseigne-t-elle.
De l’avis du formateur en entreprenariat et gestion d’entreprise Oumar Diatta, cette formation permet d’améliorer le quotidien des populations. «Les jeunes ont besoin d’emplois et la formation est une bonne chose pour accéder à l’emploi. Nous allons les capaciter au lieu que l’association trouve toujours de l’argent pour les dépanner. C’est une première formation pour leur permettre de créer la valeur, de la richesse et de pouvoir gérer leur propre activité », dit-il.