Mike Pence est sorti du bois. Selon Politico, les avocats du député républicain du Texas Louie Gohmert et de 11 grands électeurs républicains de l’Arizona ont révélé, le mardi 29 décembre, que le vice-président américain avait refusé de donner son aval à leur initiative. Ils cherchent en effet à annuler la certification par le Congrès de la victoire de Joe Biden le 6 janvier prochain.
Le site américain y voit un “premier signe que Pence résiste à certaines des demandes les plus extrêmes pour faire annuler les résultats de l’élection présidentielle”. Pour The Hill, cette décision du vice-président, “l’un des plus fidèles défenseurs de Trump”, marque une “rupture notable” avec son patron, qui a poussé les républicains du Congrès à contester la certification des votes des grands électeurs.
En tant que vice-président, Pence supervisera la session du 6 janvier au cours de laquelle Biden sera reconnu par le Congrès comme le vainqueur de la présidentielle du 3 novembre. Et bien que le rôle soit “en grande partie protocolaire”, explique le site américain, le député Louie Gohmert a intenté une action en justice “farfelue” contre Mike Pence lui-même, le lundi 28 décembre.
Gohmert souhaite faire valoir que le vice-président est seul habilité à déterminer quels grands électeurs le Congrès comptera lorsqu’il certifiera les résultats de la présidentielle.
Affirmer plus d’autorité serait illégal
D’après The Hill, Mike Pence ne s’est pas exprimé publiquement sur la façon dont il prévoit de mener la session conjointe du Congrès du 6 janvier, ni sur les incessantes pressions exercées par Trump pour que les députés et sénateurs républicains inversent le résultat du vote des grands électeurs.
Pour le Washington Post, toute tentative de Pence d’affirmer une autorité au-delà de “la simple lecture à haute voix des décomptes de votes” le 6 janvier serait illégale et le ferait presque certainement atterrir devant les tribunaux. Et selon le quotidien de la capitale américaine, “la loi ne serait pas du côté” du vice-président américain.
courrierinternational.com
Le site américain y voit un “premier signe que Pence résiste à certaines des demandes les plus extrêmes pour faire annuler les résultats de l’élection présidentielle”. Pour The Hill, cette décision du vice-président, “l’un des plus fidèles défenseurs de Trump”, marque une “rupture notable” avec son patron, qui a poussé les républicains du Congrès à contester la certification des votes des grands électeurs.
En tant que vice-président, Pence supervisera la session du 6 janvier au cours de laquelle Biden sera reconnu par le Congrès comme le vainqueur de la présidentielle du 3 novembre. Et bien que le rôle soit “en grande partie protocolaire”, explique le site américain, le député Louie Gohmert a intenté une action en justice “farfelue” contre Mike Pence lui-même, le lundi 28 décembre.
Gohmert souhaite faire valoir que le vice-président est seul habilité à déterminer quels grands électeurs le Congrès comptera lorsqu’il certifiera les résultats de la présidentielle.
Affirmer plus d’autorité serait illégal
D’après The Hill, Mike Pence ne s’est pas exprimé publiquement sur la façon dont il prévoit de mener la session conjointe du Congrès du 6 janvier, ni sur les incessantes pressions exercées par Trump pour que les députés et sénateurs républicains inversent le résultat du vote des grands électeurs.
Pour le Washington Post, toute tentative de Pence d’affirmer une autorité au-delà de “la simple lecture à haute voix des décomptes de votes” le 6 janvier serait illégale et le ferait presque certainement atterrir devant les tribunaux. Et selon le quotidien de la capitale américaine, “la loi ne serait pas du côté” du vice-président américain.
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