Mathilde Panot, députée de La France Insoumise (LFI), a annoncé avec conviction lors d'une récente interview que la France s'apprête à franchir un pas historique dans la reconnaissance internationale.
« Dans les deux prochaines semaines, nous reconnaîtrons l'État de Palestine, » a déclaré Mathilde Panot, députée insoumise élue la semaine dernière dans la 10e circonscription du Val-de-Marne. Elle s'exprimait après avoir pris connaissance des résultats du second tour des législatives, dont le Nouveau Front populaire sort vainqueur avec entre 170 et 215 députés selon les estimations.
Cette annonce de la présidente du groupe insoumis à l'Assemblée entre 2022 et 2024 correspond à une promesse réitérée à maintes reprises par son parti depuis le 7 octobre.
Alors que les bombardements israéliens font toujours rage dans la bande de Gaza, la mesure figure dans le programme présenté par la gauche unie quelques jours après la dissolution prononcée le 9 juin. Dans ce document de 26 pages, le Nouveau Front populaire envisage également de soutenir la Cour pénale internationale (CPI) dans ses poursuites contre les dirigeants du Hamas et le gouvernement de Benjamin Netanyahou.
En ce qui concerne plus spécifiquement La France Insoumise (LFI), cela fait plusieurs mois qu'elle axe son discours sur le conflit au Proche-Orient, en témoigne le ralliement en mars de Rima Hassan à la liste conduite par Manon Aubry pour les élections européennes. Placée en septième position et élue le 9 juin, cette militante pro-palestinienne, inconnue du grand public, avait pris la lumière au point d'éclipser médiatiquement sa propre tête de liste, selon de nombreux commentateurs.
« Dans les deux prochaines semaines, nous reconnaîtrons l'État de Palestine, » a déclaré Mathilde Panot, députée insoumise élue la semaine dernière dans la 10e circonscription du Val-de-Marne. Elle s'exprimait après avoir pris connaissance des résultats du second tour des législatives, dont le Nouveau Front populaire sort vainqueur avec entre 170 et 215 députés selon les estimations.
Cette annonce de la présidente du groupe insoumis à l'Assemblée entre 2022 et 2024 correspond à une promesse réitérée à maintes reprises par son parti depuis le 7 octobre.
Alors que les bombardements israéliens font toujours rage dans la bande de Gaza, la mesure figure dans le programme présenté par la gauche unie quelques jours après la dissolution prononcée le 9 juin. Dans ce document de 26 pages, le Nouveau Front populaire envisage également de soutenir la Cour pénale internationale (CPI) dans ses poursuites contre les dirigeants du Hamas et le gouvernement de Benjamin Netanyahou.
En ce qui concerne plus spécifiquement La France Insoumise (LFI), cela fait plusieurs mois qu'elle axe son discours sur le conflit au Proche-Orient, en témoigne le ralliement en mars de Rima Hassan à la liste conduite par Manon Aubry pour les élections européennes. Placée en septième position et élue le 9 juin, cette militante pro-palestinienne, inconnue du grand public, avait pris la lumière au point d'éclipser médiatiquement sa propre tête de liste, selon de nombreux commentateurs.