L’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) va bientôt être dissoute. SourceA qui rapporte l’information dans sa parution de ce jeudi, signale qu’il va laisser la place à un nouvel organe en charge de la lutte contre la drogue et dont la dénomination sera office anti stups (Ofast) ou office national anti-drogue (Onad).
Mais ce n’est pas tout, cette mesure attendue, depuis longtemps, et qui a été précipitée par les saisies-records de drogues au Sénégal, sera soustendue par la nomination d’un procureur spécial anti-drogue, un vieux Projet de l’ancien président diouf. révélations sur les tenants et aboutissants de la mise à mort de l’ocrtis.
Ce nouvel Office, dont la dénomination serait entre Office anti stups (Ofast) ou Office national anti-drogue (Onad), doit permettre de lutter , plus efficacement, contre les trafics et la consommation croissante de drogue sur l’ensemble du territoire. En effet, la structuration de l’actuel Office central de lutte, ayant toujours été décriée par la Gendarmerie et la Douane qui n’y avaient que des officiers de liaison comme représentants, il y a souvent eu des querelles de chapelles au point que la lutte contre le trafic international de drogue n’avait aucune dynamique unitaire.
Mais ce n’est pas tout, cette mesure attendue, depuis longtemps, et qui a été précipitée par les saisies-records de drogues au Sénégal, sera soustendue par la nomination d’un procureur spécial anti-drogue, un vieux Projet de l’ancien président diouf. révélations sur les tenants et aboutissants de la mise à mort de l’ocrtis.
Ce nouvel Office, dont la dénomination serait entre Office anti stups (Ofast) ou Office national anti-drogue (Onad), doit permettre de lutter , plus efficacement, contre les trafics et la consommation croissante de drogue sur l’ensemble du territoire. En effet, la structuration de l’actuel Office central de lutte, ayant toujours été décriée par la Gendarmerie et la Douane qui n’y avaient que des officiers de liaison comme représentants, il y a souvent eu des querelles de chapelles au point que la lutte contre le trafic international de drogue n’avait aucune dynamique unitaire.