Le Roi Mohammed VI du Maroc a exclu tout accord de paix qui permettrait de mener à l’indépendance du Sahara Occidental alors que les Nations Unies renouvellent leurs efforts pour résoudre ce différend vieux de plusieurs décennies qui oppose le Maroc à l’Algérie.
Une force de maintien de la paix de l’ONU a été déployée dans l’ancienne colonie espagnole depuis 1991 avec pour mandat d’organiser un référendum sur son indépendance ou son intégration avec le Maroc.
Le Maroc a accepté le vote dans un accord signé en 1988 avec le Front Polisario indépendantiste qui a mis fin à 13 ans de conflit, mais a depuis bloqué la tenue de ce référendum, affirmant qu’il n’acceptera que l’autonomie du territoire mais pas l’indépendance.
"Aucun règlement de l’affaire du Sahara n’est possible en dehors du cadre de la pleine souveraineté du Maroc sur son Sahara et de l’initiative d’autonomie, dont la communauté internationale a reconnu le sérieux et la crédibilité", a déclaré le roi dans un discours télévisé lundi.
Ce discours commémorait le 42éme anniversaire de la Marche Verte où des centaines de milliers de civils marocains ont traversé la frontière pour revendiquer le territoire riche en minéraux.
Une force de maintien de la paix de l’ONU a été déployée dans l’ancienne colonie espagnole depuis 1991 avec pour mandat d’organiser un référendum sur son indépendance ou son intégration avec le Maroc.
Le Maroc a accepté le vote dans un accord signé en 1988 avec le Front Polisario indépendantiste qui a mis fin à 13 ans de conflit, mais a depuis bloqué la tenue de ce référendum, affirmant qu’il n’acceptera que l’autonomie du territoire mais pas l’indépendance.
"Aucun règlement de l’affaire du Sahara n’est possible en dehors du cadre de la pleine souveraineté du Maroc sur son Sahara et de l’initiative d’autonomie, dont la communauté internationale a reconnu le sérieux et la crédibilité", a déclaré le roi dans un discours télévisé lundi.
Ce discours commémorait le 42éme anniversaire de la Marche Verte où des centaines de milliers de civils marocains ont traversé la frontière pour revendiquer le territoire riche en minéraux.

