Subsister par la violence exige la ruse , la duperie, le mensonge et la manipulation, la raison, elle exige la franchise et le respect des engagements. User de la tricherie, de l'acharnement , de la rancune et de la revanche relève de la stupidité.
En juin le FMI était au Sénégal et avait chanté la santé économique qui était un legs de Son Excellence Macky Sall et en septembre le FMI est revenu au Sénégal, suite à leur travaux ils ont dressé un tableau très sombre et avec un avenir économique inquiétant . Cela prouve suffisamment que ces incapables ne méritent même pas un député.
La pauvreté dans une démocratie est aussi préférable à la prospérité sous un despot sans parole ni signature que la liberté à l'esclavage.Au Sénégal avec ce régime actuel,le plus grave déficit que nous ayons est le déficit de la démocratie et le respect à la parole donnée.
La politique au Sénégal est devenue , ainsi, par la force des choses, autour des tenants du pouvoir sans parole, sans signature, le lieu de l'avilissement des hommes et de leur promotion sociale. L'impuissance de gouvernement à résoudre les problèmes qui se posent aux populations n'a pas d'autres sources que dans cet effacement du pouvoir de la politique et de son pouvoir de décision, au profit d'une cour, animée par des lobbies et des intérêts et que l'on gouverne par la peur et l'avidité. Ces deux versants expliquent les valeurs triomphantes dans cet univers : Chacun pour soi, au mépris du vivre ensemble ; les intérêts particuliers contre l'intérêt général ; les privilèges de l'entourage ou de la naissance contre le mépris du peuple.
Les conséquences de cette évolution désastreuses sur le plan moral. Ces stagiaires ont fragilisé la stabilité du pays et consume le jeu démocratique. Et seul le peuple est capable de parer à cette dictature.
La Démocratie : du grec dêmos( peuple)et Cratein( Gouverner).En philosophie politique, la démocratie peut être considérée comme une type d'organisation politique dans laquelle c'est le peuple, c'est à dire l'ensemble des citoyens sans distinction de naissance, de richesse ou de compétences, qui détient, ou qui contrôle, le pouvoir politique.
La démocratie est d'abord une forme de gouvernement. On distingue la démocratie directe et la démocratie représentative, où le peuple par le truchement de représentants, élus ou désignés ( les démocraties parlementaires modernes) .
La démocratie est aussi une théorie de la souveraineté
, selon laquelle l'autorité de l'autorité politique a son fondement dans le libre pouvoir qu'a chaque homme de se gouverner lui-même.
Ainsi , pour Rousseau, la société politique naît d'un contrat social au terme duquel le seul souverain légitime possible est le peuple, c'est-à-dire l'ensemble des citoyens votants les lois ( expression de la volonté générale) et acceptant de s'y mettre. La démocratie suppose la loi de la majorité, la liberté des individus ( respect des droits de l'homme) et l'égalité des citoyens.
La démocratie, comme régime politique où la souveraineté est exercée par le peuple. Cette définition a été améliorée par le Président Américain Abraham Lincoln. Sa formule, considérée comme la définition classique de la démocratie, est « le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple »
Reconnaissons d'emblée que la démocratie est un idéal ; et que certains pays s'en approchent plus que d'autres sans l'atteindre pour autant. En disant cela, nous avons à l' esprit l'image d'une asymptote dans la géométrie euclidienne.
Les pays dits démocrates ont des régimes qui sont comme des courbes asymptotiques tendant vers une ligne droite : l' axe des coordonnées que représente la démocratie idéale, n'est jamais réellement atteinte. La courbe asymétrique ne touche jamais la ligne droite qui représente l'axe des coordonnées. La concrétisation de la démocratie est donc une œuvre difficile et de longue haleine menacée par toutes sortes de dérapages, comme nous aurons l'occasion de le constater. La réalisation de la démocratie est un défi constant.
En effet, de nos , un Etat étant une unité beaucoup plus vaste qu'une petite famille ou un petit village où tous les membres peuvent facilement se réunir pour examiner les problèmes les concernent et prendre les décisions appropriées, la démocratie, au niveau de nos États modernes, est nécessairement représentative . Ainsi, la démocratie contemporaine est principalement indirecte ; car le peuple délégué ses pouvoirs à un groupe de personnes qu'il choisit, en principe librement, et qui délibèrent et décident en son nom , étant entendu qu'une consultation populaire par référendum devrait pouvoir être organisée à tout moment pour permettre au peuple de se prononcer directement sur des problèmes cruciaux concernant son bien-être et l'avenir du pays et pour lesquels il n'a pas donné un mandat spécial ou spécifique à ses représentants.
Si l'assemblée nationale est une représentation du peuple, le dissoudre relève d'une haute trahison de l'expression du peuple.
Au Sénégal cette dissolution de l'Assemblée nationale est due à la quête acharnée de la recherche d'un pouvoir absolu pour installer la terreur afin de pérenniser la dictature absolue.
Les tenants de ce régime, ne connaissent ni la moralité,ni le sens de la responsabilité. Ils sont tous des éternels revanchards , haineux et roublards .
Ils ont dupé le peuple et les orientent de leur quotidien. La médiocrité ambiante et la voyoucratie commencent à gagner et contaminer les tenants du pouvoir actuel.
Le quotidien des Sénégalais ne les intéresse guère.
Cet homme sans parole , sans signature use de la ruse la plus perfide et la plus machiavélique pour tromper le Peuple.
Ces élections législatives anticipées ne sont qu'une hérésie politique parce que" Ngoundou" cherche à satisfaire son leader politique.
Au lieu de s'intéresser aux urgences actuelles c'est-à-dire : la montée exponentielle des accidents de la route, l'augmentation des denrées de première nécessité, le coup cher des factures d'eau, d'électricité, l'émigration clandestine entre autres.
Face à tous problèmes socio-économiques , l'État fait fi à tous ces problèmes. Comme le peuple n'existe plus. Face à tel mépris, les Sénégalais doivent leur imposer la cohabitation pour ces élections législatives.
Quelques soient les pratiques politiques, la société doit être fondée sur le respect de la parole donnée.
Au Sénégal nous assistons actuellement, le plus désolant spectacle de la défection de la parole. Une société qui n' a pas de principe, comme individu qui n'en a pas , ne va ni droit ni loin . L'interdiction de se dédire ou de se contredire est fondatrice de tout ordre social qui se veut viable.
Le parjure politique n'est pas une ouverture politique. C'est un coup fatal sur la démocratie.
Il va à l'encontre de la morale sociale et politique qui voudrait qu'on ne revoque pas une promesse, qu'on ne retrace pas une profession de foi, qu'on ne revienne pas sur un engagement et que l'on n'informe pas une affirmation.
Au lieu de vivre un ordre social fondé sur des contrats, des conventions, des serments et des signatures, et de les sécuriser par des gages et des garanties, les Sénégalais ont assisté à des alliances faites au gré des sautés d'humeur, des lubies imprévisibles, des pièges des intérêts. Ce que la reconnaissance recherchait par la constance et le mérite, le pouvoir politique actuel à lui-même organise sa dissolution définitive parce qu'ils ont failli. Ainsi, en très peu de temps, incohérences , trahison, reniement sont devenus les choses les mieux partagées dans notre pays . On ne s'indigne plus .
C'est dans cette mouvance que j'ai pris mon courage en mains pour dresser les pas sombre de l'exécutif.
Comment, dès lors, ne pas s'étonner d'une crise de valeurs que tout le monde évoque, sans toutefois en avoir une idée précise ? Lorsqu'un homme concentre entre ses mains tous les privilèges et qu'en face de lui se trouvent des millions de courtisans qui ne croient pas ni à l'effort ni au travail, encore moins le mérite, il en résulte un ordre social fondé sur le parasitisme, le mensonge et la lâcheté. Le Cancer de notre organisation économique ne réside t'il pas dans ce système parasitaire érigé , non en marge, mais en modèle économique dominant.
Le clientélisme et favoritisme occupent actuellement tous les segments de l'administration. Des recrutements des militants, des chargés de mission comme un gouvernement au sein de la primature en est une illustration parfaite.
Samba Ndong
Responsable politique Apr Biscuiterie et Coordonnateur du Mouvement PATRIES-les éternels Mackystes
En juin le FMI était au Sénégal et avait chanté la santé économique qui était un legs de Son Excellence Macky Sall et en septembre le FMI est revenu au Sénégal, suite à leur travaux ils ont dressé un tableau très sombre et avec un avenir économique inquiétant . Cela prouve suffisamment que ces incapables ne méritent même pas un député.
La pauvreté dans une démocratie est aussi préférable à la prospérité sous un despot sans parole ni signature que la liberté à l'esclavage.Au Sénégal avec ce régime actuel,le plus grave déficit que nous ayons est le déficit de la démocratie et le respect à la parole donnée.
La politique au Sénégal est devenue , ainsi, par la force des choses, autour des tenants du pouvoir sans parole, sans signature, le lieu de l'avilissement des hommes et de leur promotion sociale. L'impuissance de gouvernement à résoudre les problèmes qui se posent aux populations n'a pas d'autres sources que dans cet effacement du pouvoir de la politique et de son pouvoir de décision, au profit d'une cour, animée par des lobbies et des intérêts et que l'on gouverne par la peur et l'avidité. Ces deux versants expliquent les valeurs triomphantes dans cet univers : Chacun pour soi, au mépris du vivre ensemble ; les intérêts particuliers contre l'intérêt général ; les privilèges de l'entourage ou de la naissance contre le mépris du peuple.
Les conséquences de cette évolution désastreuses sur le plan moral. Ces stagiaires ont fragilisé la stabilité du pays et consume le jeu démocratique. Et seul le peuple est capable de parer à cette dictature.
La Démocratie : du grec dêmos( peuple)et Cratein( Gouverner).En philosophie politique, la démocratie peut être considérée comme une type d'organisation politique dans laquelle c'est le peuple, c'est à dire l'ensemble des citoyens sans distinction de naissance, de richesse ou de compétences, qui détient, ou qui contrôle, le pouvoir politique.
La démocratie est d'abord une forme de gouvernement. On distingue la démocratie directe et la démocratie représentative, où le peuple par le truchement de représentants, élus ou désignés ( les démocraties parlementaires modernes) .
La démocratie est aussi une théorie de la souveraineté
, selon laquelle l'autorité de l'autorité politique a son fondement dans le libre pouvoir qu'a chaque homme de se gouverner lui-même.
Ainsi , pour Rousseau, la société politique naît d'un contrat social au terme duquel le seul souverain légitime possible est le peuple, c'est-à-dire l'ensemble des citoyens votants les lois ( expression de la volonté générale) et acceptant de s'y mettre. La démocratie suppose la loi de la majorité, la liberté des individus ( respect des droits de l'homme) et l'égalité des citoyens.
La démocratie, comme régime politique où la souveraineté est exercée par le peuple. Cette définition a été améliorée par le Président Américain Abraham Lincoln. Sa formule, considérée comme la définition classique de la démocratie, est « le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple »
Reconnaissons d'emblée que la démocratie est un idéal ; et que certains pays s'en approchent plus que d'autres sans l'atteindre pour autant. En disant cela, nous avons à l' esprit l'image d'une asymptote dans la géométrie euclidienne.
Les pays dits démocrates ont des régimes qui sont comme des courbes asymptotiques tendant vers une ligne droite : l' axe des coordonnées que représente la démocratie idéale, n'est jamais réellement atteinte. La courbe asymétrique ne touche jamais la ligne droite qui représente l'axe des coordonnées. La concrétisation de la démocratie est donc une œuvre difficile et de longue haleine menacée par toutes sortes de dérapages, comme nous aurons l'occasion de le constater. La réalisation de la démocratie est un défi constant.
En effet, de nos , un Etat étant une unité beaucoup plus vaste qu'une petite famille ou un petit village où tous les membres peuvent facilement se réunir pour examiner les problèmes les concernent et prendre les décisions appropriées, la démocratie, au niveau de nos États modernes, est nécessairement représentative . Ainsi, la démocratie contemporaine est principalement indirecte ; car le peuple délégué ses pouvoirs à un groupe de personnes qu'il choisit, en principe librement, et qui délibèrent et décident en son nom , étant entendu qu'une consultation populaire par référendum devrait pouvoir être organisée à tout moment pour permettre au peuple de se prononcer directement sur des problèmes cruciaux concernant son bien-être et l'avenir du pays et pour lesquels il n'a pas donné un mandat spécial ou spécifique à ses représentants.
Si l'assemblée nationale est une représentation du peuple, le dissoudre relève d'une haute trahison de l'expression du peuple.
Au Sénégal cette dissolution de l'Assemblée nationale est due à la quête acharnée de la recherche d'un pouvoir absolu pour installer la terreur afin de pérenniser la dictature absolue.
Les tenants de ce régime, ne connaissent ni la moralité,ni le sens de la responsabilité. Ils sont tous des éternels revanchards , haineux et roublards .
Ils ont dupé le peuple et les orientent de leur quotidien. La médiocrité ambiante et la voyoucratie commencent à gagner et contaminer les tenants du pouvoir actuel.
Le quotidien des Sénégalais ne les intéresse guère.
Cet homme sans parole , sans signature use de la ruse la plus perfide et la plus machiavélique pour tromper le Peuple.
Ces élections législatives anticipées ne sont qu'une hérésie politique parce que" Ngoundou" cherche à satisfaire son leader politique.
Au lieu de s'intéresser aux urgences actuelles c'est-à-dire : la montée exponentielle des accidents de la route, l'augmentation des denrées de première nécessité, le coup cher des factures d'eau, d'électricité, l'émigration clandestine entre autres.
Face à tous problèmes socio-économiques , l'État fait fi à tous ces problèmes. Comme le peuple n'existe plus. Face à tel mépris, les Sénégalais doivent leur imposer la cohabitation pour ces élections législatives.
Quelques soient les pratiques politiques, la société doit être fondée sur le respect de la parole donnée.
Au Sénégal nous assistons actuellement, le plus désolant spectacle de la défection de la parole. Une société qui n' a pas de principe, comme individu qui n'en a pas , ne va ni droit ni loin . L'interdiction de se dédire ou de se contredire est fondatrice de tout ordre social qui se veut viable.
Le parjure politique n'est pas une ouverture politique. C'est un coup fatal sur la démocratie.
Il va à l'encontre de la morale sociale et politique qui voudrait qu'on ne revoque pas une promesse, qu'on ne retrace pas une profession de foi, qu'on ne revienne pas sur un engagement et que l'on n'informe pas une affirmation.
Au lieu de vivre un ordre social fondé sur des contrats, des conventions, des serments et des signatures, et de les sécuriser par des gages et des garanties, les Sénégalais ont assisté à des alliances faites au gré des sautés d'humeur, des lubies imprévisibles, des pièges des intérêts. Ce que la reconnaissance recherchait par la constance et le mérite, le pouvoir politique actuel à lui-même organise sa dissolution définitive parce qu'ils ont failli. Ainsi, en très peu de temps, incohérences , trahison, reniement sont devenus les choses les mieux partagées dans notre pays . On ne s'indigne plus .
C'est dans cette mouvance que j'ai pris mon courage en mains pour dresser les pas sombre de l'exécutif.
Comment, dès lors, ne pas s'étonner d'une crise de valeurs que tout le monde évoque, sans toutefois en avoir une idée précise ? Lorsqu'un homme concentre entre ses mains tous les privilèges et qu'en face de lui se trouvent des millions de courtisans qui ne croient pas ni à l'effort ni au travail, encore moins le mérite, il en résulte un ordre social fondé sur le parasitisme, le mensonge et la lâcheté. Le Cancer de notre organisation économique ne réside t'il pas dans ce système parasitaire érigé , non en marge, mais en modèle économique dominant.
Le clientélisme et favoritisme occupent actuellement tous les segments de l'administration. Des recrutements des militants, des chargés de mission comme un gouvernement au sein de la primature en est une illustration parfaite.
Samba Ndong
Responsable politique Apr Biscuiterie et Coordonnateur du Mouvement PATRIES-les éternels Mackystes