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Kisal ne veut pas faire comme les autres ( Par Salif Badji)

Mardi 7 Novembre 2017

 Kisal ne veut pas faire comme les autres ( Par Salif Badji)
La classe politique sénégalaise offre ces temps-ci une image pitoyable et lamentable dans les différentes appréciations en cours sur l’ossature de l’actuel gouvernement de la république du Sénégal et de l’action du Président Macky Sall.
 
 Qu’elle soit de la majorité présidentielle ou de l’opposition, cette classe politique là, de par son comportement, montre son mépris pour le peuple sénégalais, et son nombrilisme crypto alimentaire de la chose publique.

Du côté de l’opposition et de certains milieux de la société civile crypto pouvoiriste , ainsi que de chez les experts le doigt la lune et les étoiles de la chose politique partisane , tout le monde tape à bras raccourci comme des sourds sur le président de la république et son  gouvernement .En situation intermédiaire, se campe une société civile caractérisée en partie par une stratégie d’opposition du ôte toi de là que je m’y mette, et une fois que les objectifs alimentaires sont satisfaits par le pouvoir en place ils ou elles tournent de casaque ; comme si leurs engagements d’alors n’étaient rien d’autres que des stratégies de destins alimentaires. D’autres financés par des acteurs étrangers faisant des troubles fêtes au gré des intérêts de leurs mentors à court terme, s’arcboutent sur des positions de dénonciations pas tout à fait neutres compte tenu de leurs raisons d’être.
 En fin ceux des représentants d’organisations internationales dites des droits de l’homme, qui se disent acteurs de la société civile sénégalaise et dont les paroles n’ont de faire valoir que par leurs appartenances à ces organisations internationales et des protections qui y sont liées. L’émergence des cadres géographiques partisans en matière électorale au sein de la coalition macky 2012 n’est pas en soi suffisante pour la visibilité d’une politique gouvernementale en direction des sénégalais dés lorsque les même outils demeurent et ils ont insuffisants .kisal  est néanmoins surpris que c’est toujours les même cadres des leaders politiques anciens qui sont promus et que les segments de la coalition .Macky 2012 soient toujours cantonnés au rang de faire valoir électoraux malgré leurs représentativités et les compétences avérées dont ils disposent sur beaucoup de sujets d’intérêt national .
                                                                                                                                                                                    
Pour cela et pour sortir de cette situation que les sénégalais ne veulent pas, Salif  Badji demande au Chef de l’Etat et au Gouvernement de soutenir et de valoriser le statut des PME/ PMI et de les accompagner. Car les PME/PMI s’activent dans l’auto emploi et partagent une vision commune : Faire de ces derniers un levier important pour le Développement du Sénégal et les collectivités territoriales :C’est la seule Alternative pour régler la problématique de l’emploi et du financement des femmes et des jeunes frappés  par le chômage ;l’exode et l’émigration illégale : Un expert DG  en la matière, ne disait-il pas  que c’est le passage de l’informel au Formel qui permet de relever cet immense défi qu’est l’Emploi des Jeunes et des Femmes, par exemple :(le sud à faire  ; le nord a construire le centre a sauver) : cette affirmation exprime bien la situation économique du Sénégal par rapport aux autres pays du moins telle que la voient les experts spécialistes : le PR doit prendre en charge concernant le sud   pour le retour des familles déplacer: aujourd’hui leurs enfants n’ont  même pas d’extraits de naissance sénégalais et  nécessitent une prise  en charge pour le retour de la paix définitive  ; et le déminage des champs et des rizières  ;les pistes de production des KALOUNAYES ;FOGNI non praticable :pour nord  aussi la route OUROSSOGUI  BAKEL  des hôpitaux  fonctionnels ;des médecins et des  infirmiers et  sages-femmes comme celle du village de SOUDA dans la commune de OUONCK construit par le  gouvernement :toujours pour le sud  le BARRAGE  d’AFFIGNAME n’est pas satisfaisant  et des forages ne sont pas  fonctionnels et son impact sur la vie des populations riveraines est importante  notamment sur l’activité agricole ainsi que la  pêche ;le président s’est engagé à faire de  la CASSAMANCE une zone touristique spéciale ;certes ;mais on attend de voir les mesures pratiques concernant la relance du tourisme
Les régions périphériques du Sénégal constituent une source d’émergence considérable si l’état met en place et réalise les engagements conseils ministériels décentralisés toujours attendus par les populations locales.

 Par Salif Badji, Coordonnateur du Parti Kisal 
 

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