Prenant la parole, Idrissa SECK, qui n’a certainement pas oublié les diatribes de son ancien poulain, s’est longuement arrêté sur son parcours notamment universitaire. « A vingt ans déjà, j’étais conseiller spécial alors que j’étais en classe préparatoire aux grandes écoles françaises, de l’un des cerveaux les plus puissants du continent africain de Johannesburg à Casablanca, le président Abdoulaye WADE… A 29, alors que je venais de boucler seulement trois à quatre années de carrière à PricewaterhouseCoopers, je suis allé, un jour, dans son bureau lui donner quelques conseils. Il me dit vient les appliquer en étant mon directeur de campagne en 1988 », a expliqué Idrissa SECK. Et l’ancien Premier ministre d’expliquer comment il a atterri à l’université de Princeton. Selon lui, Lennon Walker, alors ambassadeur américain au Sénégal, lui avait présenté à James Baker qui a été le ministre des finances des USA. Ce dernier lui a, plus tard, recommandé à l’université et qu’un milliardaire américain Parvin « a financé l’opération ».
Pendant qu’Idrissa SECK, expliquait, Aliou SOW peinait à se tenir sur place. Sans doute lui qui disait qu’Idy « ne peut pas nous brandir un MBA, un « bachelor » , un « degree » ou un autre diplôme qu’il aurait eu à Princeton », pensait que ce dernier allait directement interpeller.
