Une décision surprenante du président de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embaló, soulève des interrogations et des débats intenses dans le pays. Pour la première fois dans l'histoire de la nation, un chef d'État a nommé un membre de sa propre famille à un poste clé du gouvernement. La fille du président, a été désignée pour occuper le poste de conseillère auprès du président de la République.
La nomination a suscité une controverse immédiate, car elle touche directement à des questions d'éthique et de transparence au sein du gouvernement. Ce qui aggrave la situation, c'est le refus persistant du président Embaló de publier le décret officiel confirmant cette nomination. Bien que la fille du président ait déjà prêté serment, un geste symbolique marquant l'acceptation officielle de ses nouvelles fonctions, le décret reste introuvable dans les publications officielles.
Les critiques envers le président Embaló se multiplient, accusant son administration de manquer de transparence et de compromettre les principes démocratiques. Des appels sont lancés pour que le président clarifie la situation et justifie la nomination de sa fille à un poste aussi stratégique.
Dans un pays où les institutions démocratiques sont encore en développement, cette décision pourrait avoir des répercussions durables sur la perception du gouvernement et sur la confiance du public dans ses dirigeants. La question demeure : pourquoi le décret n'a-t-il pas été publié, et quelles seront les conséquences de cette nomination controversée pour l'avenir politique de la Guinée-Bissau ?
La nomination a suscité une controverse immédiate, car elle touche directement à des questions d'éthique et de transparence au sein du gouvernement. Ce qui aggrave la situation, c'est le refus persistant du président Embaló de publier le décret officiel confirmant cette nomination. Bien que la fille du président ait déjà prêté serment, un geste symbolique marquant l'acceptation officielle de ses nouvelles fonctions, le décret reste introuvable dans les publications officielles.
Les critiques envers le président Embaló se multiplient, accusant son administration de manquer de transparence et de compromettre les principes démocratiques. Des appels sont lancés pour que le président clarifie la situation et justifie la nomination de sa fille à un poste aussi stratégique.
Dans un pays où les institutions démocratiques sont encore en développement, cette décision pourrait avoir des répercussions durables sur la perception du gouvernement et sur la confiance du public dans ses dirigeants. La question demeure : pourquoi le décret n'a-t-il pas été publié, et quelles seront les conséquences de cette nomination controversée pour l'avenir politique de la Guinée-Bissau ?