De Los Angeles à Atlanta, d'Austin à Boston, en passant par Chicago, le mouvement d'étudiants américains pro-palestiniens grossit d'heure en heure. Cela après son début il y a plus d'une semaine, à l'université de Columbia, à New York. Certaines des universités les plus prestigieuses au monde sont concernées, comme Harvard, Yale ou encore Princeton.
Les scènes à travers le pays se suivent et se ressemblent : des élèves installent des tentes sur leurs campus, pour dénoncer le soutien militaire des États-Unis à Israël et la catastrophe humanitaire dans la bande de Gaza. Puis, ils sont délogés, souvent de façon musclée, par des policiers en tenue anti-émeute, à la demande de la direction des universités. Plus de 200 manifestants ont été arrêtés mercredi 24 et jeudi 25 avril dans des universités de Los Angeles, de Boston et d'Austin (Texas), où quelque 2 000 personnes se sont à nouveau rassemblées jeudi.
Des heurts et des arrestations dans plusieurs campus
Université de Columbia à New York (Est) : dans les campus de l’université d’où le mouvement est parti, la police de New York a arrêté 108 manifestants le 18 avril. Après la poursuite continue du mouvement, les administrateurs de l’université avaient fixé un ultimatum à 0h01 ce vendredi 26 avril pour que les manifestants démantèlent leur campement et se dissolvent. L’université a toutefois ajourné la date limite avant l’évacuation annoncée, pour des « négociations ».
Université Emory à Atlanta (Sud) : Plusieurs dizaines de manifestants ont installé des tentes sur une pelouse du campus jeudi 25 avril, avant d’être évacués manu militari par la police, certains projetés au sol dans des arrestations musclées. En plus des images qui ont fait le tour des réseaux sociaux, la police d'Atlanta a reconnu avoir utilisé des « irritants chimiques » pour disperser les manifestants. Un responsable d'Emory a déclaré qu'au moins 28 personnes avaient été arrêtées, dont 20 ayant des liens avec l'école.
Les scènes à travers le pays se suivent et se ressemblent : des élèves installent des tentes sur leurs campus, pour dénoncer le soutien militaire des États-Unis à Israël et la catastrophe humanitaire dans la bande de Gaza. Puis, ils sont délogés, souvent de façon musclée, par des policiers en tenue anti-émeute, à la demande de la direction des universités. Plus de 200 manifestants ont été arrêtés mercredi 24 et jeudi 25 avril dans des universités de Los Angeles, de Boston et d'Austin (Texas), où quelque 2 000 personnes se sont à nouveau rassemblées jeudi.
Des heurts et des arrestations dans plusieurs campus
Université de Columbia à New York (Est) : dans les campus de l’université d’où le mouvement est parti, la police de New York a arrêté 108 manifestants le 18 avril. Après la poursuite continue du mouvement, les administrateurs de l’université avaient fixé un ultimatum à 0h01 ce vendredi 26 avril pour que les manifestants démantèlent leur campement et se dissolvent. L’université a toutefois ajourné la date limite avant l’évacuation annoncée, pour des « négociations ».
Université Emory à Atlanta (Sud) : Plusieurs dizaines de manifestants ont installé des tentes sur une pelouse du campus jeudi 25 avril, avant d’être évacués manu militari par la police, certains projetés au sol dans des arrestations musclées. En plus des images qui ont fait le tour des réseaux sociaux, la police d'Atlanta a reconnu avoir utilisé des « irritants chimiques » pour disperser les manifestants. Un responsable d'Emory a déclaré qu'au moins 28 personnes avaient été arrêtées, dont 20 ayant des liens avec l'école.