La cour d’assises de Paris a rendu son verdict ce vendredi 23 mai dans l’affaire du spectaculaire braquage de Kim Kardashian survenu à Paris en 2016. Connus sous le surnom de « papys braqueurs » en raison de leur âge avancé, les principaux accusés ont été condamnés à des peines allant jusqu’à huit ans de prison. Toutefois, aucun d’eux ne retournera derrière les barreaux.
Au cœur du dossier, Aomar Aït Khedache, considéré comme le cerveau de l’opération, a écopé de huit ans de réclusion, dont trois ans fermes. Mais la cour a décidé d’une confusion de peine avec une précédente condamnation de cinq ans, qu’il a déjà purgée. En conséquence, il ne retournera pas en détention, tout comme les autres accusés, tous condamnés à des peines inférieures à celles requises par l’accusation mercredi dernier.
Parmi les dix prévenus, deux ont été acquittés, notamment ceux soupçonnés d’avoir servi de « taupes » dans l’entourage de la star américaine, en lui fournissant des informations sur son agenda et ses déplacements. Le ministère public avait pourtant requis des peines allant de sept à dix-huit ans de prison contre plusieurs d’entre eux.
L’affaire avait secoué le monde du showbiz et provoqué une onde de choc médiatique internationale. Dans la nuit du 2 au 3 octobre 2016, Kim Kardashian, alors présente à Paris pour la Fashion Week, avait été braquée dans une résidence hôtelière de luxe par un commando déguisé en policiers. Ligotée et enfermée dans une salle de bain, elle s’était fait dérober pour plus de 9 millions d’euros de bijoux, dont une bague estimée à 4 millions d’euros.
Selon ses avocats, Kim Kardashian s’est dite « satisfaite » du verdict, bien qu’elle n’ait pas assisté aux audiences. Pour la star, ce procès met un terme judiciaire à un traumatisme qui a profondément marqué sa vie personnelle et son rapport à la célébrité.
Ce jugement met un point final à un feuilleton judiciaire aux airs de film de casse, dont les auteurs, souvent âgés de plus de 60 ans, ont été surnommés par la presse française et internationale les « papys braqueurs ».
Au cœur du dossier, Aomar Aït Khedache, considéré comme le cerveau de l’opération, a écopé de huit ans de réclusion, dont trois ans fermes. Mais la cour a décidé d’une confusion de peine avec une précédente condamnation de cinq ans, qu’il a déjà purgée. En conséquence, il ne retournera pas en détention, tout comme les autres accusés, tous condamnés à des peines inférieures à celles requises par l’accusation mercredi dernier.
Parmi les dix prévenus, deux ont été acquittés, notamment ceux soupçonnés d’avoir servi de « taupes » dans l’entourage de la star américaine, en lui fournissant des informations sur son agenda et ses déplacements. Le ministère public avait pourtant requis des peines allant de sept à dix-huit ans de prison contre plusieurs d’entre eux.
L’affaire avait secoué le monde du showbiz et provoqué une onde de choc médiatique internationale. Dans la nuit du 2 au 3 octobre 2016, Kim Kardashian, alors présente à Paris pour la Fashion Week, avait été braquée dans une résidence hôtelière de luxe par un commando déguisé en policiers. Ligotée et enfermée dans une salle de bain, elle s’était fait dérober pour plus de 9 millions d’euros de bijoux, dont une bague estimée à 4 millions d’euros.
Selon ses avocats, Kim Kardashian s’est dite « satisfaite » du verdict, bien qu’elle n’ait pas assisté aux audiences. Pour la star, ce procès met un terme judiciaire à un traumatisme qui a profondément marqué sa vie personnelle et son rapport à la célébrité.
Ce jugement met un point final à un feuilleton judiciaire aux airs de film de casse, dont les auteurs, souvent âgés de plus de 60 ans, ont été surnommés par la presse française et internationale les « papys braqueurs ».