«Avez-vous récemment donné de l’argent à une personnalité politique française ? dans l’affirmative est-ce un montant de 12 millions d’euros soit environ 7,9 milliards d'argent d’un pays catalogué Pays Pauvre Très Endetté. Surtout quand on sait que la haine et le rejet de l’autre, ont toujours été utilisés par le parti, comme véhicule d’une ascension politique ? », c'est la question que l'ancien Premier ministre Cheikh Hadjibou Soumaré avait posé au Président Macky Sall, qui visiblement n'a pas digéré cette interpellation .
En moins de 72 heures, la justice est saisie. L’ancien Premier ministre Cheikh Hadjibou Soumaré a ainsi reçu sa convocation pour répondre devant les enquêteurs de la Sûreté urbaine de Dakar, ce jeudi à 10 heures, selon des informations relayées.
Ce qui avait fait réagir le gouvernement dans un communiqué signé par le porte-parole, Abdou Karim Fofana. « Le gouvernement rejette et condamne fermement de telles insinuations, lâches et sans fondement, qui témoignent manifestement d’une volonté maléfique de jeter le discrédit sur la personne du Président de la République, porter atteinte à l’Institution qu’il incarne et nuire aux relations entre le Sénégal et une puissance étrangère », lit-on dans le communiqué Tout en rappelant vigoureusement «qu’il se réserve le droit de donner toute suite qu’il juge appropriée à ces insinuations fallacieuses, malveillantes et indignes de quelqu’un qui a occupé de hautes fonctions étatiques ».
En moins de 72 heures, la justice est saisie. L’ancien Premier ministre Cheikh Hadjibou Soumaré a ainsi reçu sa convocation pour répondre devant les enquêteurs de la Sûreté urbaine de Dakar, ce jeudi à 10 heures, selon des informations relayées.
Ce qui avait fait réagir le gouvernement dans un communiqué signé par le porte-parole, Abdou Karim Fofana. « Le gouvernement rejette et condamne fermement de telles insinuations, lâches et sans fondement, qui témoignent manifestement d’une volonté maléfique de jeter le discrédit sur la personne du Président de la République, porter atteinte à l’Institution qu’il incarne et nuire aux relations entre le Sénégal et une puissance étrangère », lit-on dans le communiqué Tout en rappelant vigoureusement «qu’il se réserve le droit de donner toute suite qu’il juge appropriée à ces insinuations fallacieuses, malveillantes et indignes de quelqu’un qui a occupé de hautes fonctions étatiques ».