Immédiatement après l'annonce des résultats de l'élection présidentielle, qui donnent Ali Bongo Ondimba gagnant avec à peine 5 000 voix de plus que son adversaire Jean Ping, des manifestants ont pris d'assaut les rues de Libreville.
Il n’aura fallu que quelques minutes après la proclamation des résultats pour que les quartiers populaires de la capitale s’embrasent. Les partisans de Jean Ping se sont lancés dans des manifestations de rue, réprimées par la police. Et, en fin de journée, ont fini par se diriger vers l’Assemblée nationale, qui a fini dans les flammes.
Dès le milieu de l’après-midi, alors que les résultats officiels n’avaient pas été proclamés mais que des chiffres donnant le président sortant gagnant circulaient déjà, des milliers de personnes sont descendues des bidonvilles pour crier leur colère dans une ville de facto en état de siège. Leur favori, Jean Ping allait être défait d’une courte paille (48,23%) face au président sortant (49,8%).
Jeune Afrique
Il n’aura fallu que quelques minutes après la proclamation des résultats pour que les quartiers populaires de la capitale s’embrasent. Les partisans de Jean Ping se sont lancés dans des manifestations de rue, réprimées par la police. Et, en fin de journée, ont fini par se diriger vers l’Assemblée nationale, qui a fini dans les flammes.
Dès le milieu de l’après-midi, alors que les résultats officiels n’avaient pas été proclamés mais que des chiffres donnant le président sortant gagnant circulaient déjà, des milliers de personnes sont descendues des bidonvilles pour crier leur colère dans une ville de facto en état de siège. Leur favori, Jean Ping allait être défait d’une courte paille (48,23%) face au président sortant (49,8%).
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