Au moment où nous mettons ces mots en ligne, Adama Fall, responsable de l'APR sous Macky Sall, se trouve dans les locaux de la Direction des Investigations Criminelles (DIC) et risque gros. Lors d'une émission télévisée, cet Apériste aurait cité certains responsables gouvernementaux dans une affaire de trafic d'emplois au Qatar. D'ailleurs, le ministère du Travail, de l'Emploi et des Relations avec les Institutions a publié un communiqué officiel réfutant les accusations relayées sur les réseaux sociaux par Adama Fall, connu pour ses positions hostiles au régime de Pastef.
Dans une vidéo largement partagée en ligne, l’auteur des propos incriminés affirme que « l'organisation clandestine de voyages en direction du Qatar » aurait eu lieu, accompagnée de la « réception de sommes d'argent indues, pour un montant supposé de 1.500.000 FCFA par candidat ».
Face à ces affirmations, le ministère a réagi avec fermeté en déclarant que « ces propos n’engagent que leur auteur et relèvent d’une diffusion de fausses nouvelles ».
Le conseiller technique en communication, M. Souleymane Kane, a indiqué que « le ministère se réserve le droit de saisir les autorités compétentes aux fins qu’il leur appartiendra de donner suite ».
Cette déclaration vise à rassurer l’opinion publique et à préserver l’intégrité du ministère face à des accusations d'Adama Fall, qu’il juge infondées.
Dans une vidéo largement partagée en ligne, l’auteur des propos incriminés affirme que « l'organisation clandestine de voyages en direction du Qatar » aurait eu lieu, accompagnée de la « réception de sommes d'argent indues, pour un montant supposé de 1.500.000 FCFA par candidat ».
Face à ces affirmations, le ministère a réagi avec fermeté en déclarant que « ces propos n’engagent que leur auteur et relèvent d’une diffusion de fausses nouvelles ».
Le conseiller technique en communication, M. Souleymane Kane, a indiqué que « le ministère se réserve le droit de saisir les autorités compétentes aux fins qu’il leur appartiendra de donner suite ».
Cette déclaration vise à rassurer l’opinion publique et à préserver l’intégrité du ministère face à des accusations d'Adama Fall, qu’il juge infondées.