Alors que l’affaire des 1.000 milliards de francs CFA liés à la gestion des fonds Covid-19 continue de secouer l’opinion, Cheikh Oumar Diagne, ancien ministre s’est félicité de l’avancée des procédures tout en appelant à élargir le champ des investigations.
« C’est une excellente chose de régler l’affaire des 1.000 milliards. Il faudra punir sévèrement ces kuluna », a déclaré le religieux, appelant à une justice ferme contre les auteurs présumés de détournements de fonds publics.
Cependant, au-delà de la question financière, Cheikh Oumar Diagne a soulevé trois autres préoccupations majeures qu’il estime prioritaires pour de nouvelles enquêtes.
D'abord, il a interrogé « l’opportunité et les choix des vaccins commandés ou offerts », rappelant que « ces vaccins n’avaient pas encore validé les phases nécessaires pour être dans la commercialisation ». À ce sujet, il a évoqué de nombreuses « bizarreries sur les sujets vaccinés », suggérant que des vérifications plus poussées s’imposent.
Ensuite, l’ancien ministre en charge de l'Administration et de l'Équipement à la présidence de la République s’est penché sur la question des effets secondaires des vaccins administrés durant la pandémie. Il a plaidé pour une évaluation rigoureuse de l’impact sanitaire sur les citoyens.
Enfin, Cheikh Oumar Diagne a exprimé ses inquiétudes concernant « nos données personnelles sanitaires à l’occasion des tests ». Il a notamment pointé du doigt « le business avec Pasteur », s’interrogeant : « Qu’en est-il de ces données sur l’utilisation, la vente, etc. ? »
Par ces déclarations, Cheikh Oumar Diagne invite les autorités à ne pas se limiter aux seules dérives financières, mais à examiner également les volets sanitaires et éthiques de la gestion de la pandémie. Des appels qui pourraient, si pris en compte, élargir considérablement l’ampleur des investigations en cours.
PS: Kuluna , terme congolais désignant des bandes violentes ; utilisé ici par Cheikh Oumar Diagne pour qualifier des prédateurs économiques sans scrupules.
« C’est une excellente chose de régler l’affaire des 1.000 milliards. Il faudra punir sévèrement ces kuluna », a déclaré le religieux, appelant à une justice ferme contre les auteurs présumés de détournements de fonds publics.
Cependant, au-delà de la question financière, Cheikh Oumar Diagne a soulevé trois autres préoccupations majeures qu’il estime prioritaires pour de nouvelles enquêtes.
D'abord, il a interrogé « l’opportunité et les choix des vaccins commandés ou offerts », rappelant que « ces vaccins n’avaient pas encore validé les phases nécessaires pour être dans la commercialisation ». À ce sujet, il a évoqué de nombreuses « bizarreries sur les sujets vaccinés », suggérant que des vérifications plus poussées s’imposent.
Ensuite, l’ancien ministre en charge de l'Administration et de l'Équipement à la présidence de la République s’est penché sur la question des effets secondaires des vaccins administrés durant la pandémie. Il a plaidé pour une évaluation rigoureuse de l’impact sanitaire sur les citoyens.
Enfin, Cheikh Oumar Diagne a exprimé ses inquiétudes concernant « nos données personnelles sanitaires à l’occasion des tests ». Il a notamment pointé du doigt « le business avec Pasteur », s’interrogeant : « Qu’en est-il de ces données sur l’utilisation, la vente, etc. ? »
Par ces déclarations, Cheikh Oumar Diagne invite les autorités à ne pas se limiter aux seules dérives financières, mais à examiner également les volets sanitaires et éthiques de la gestion de la pandémie. Des appels qui pourraient, si pris en compte, élargir considérablement l’ampleur des investigations en cours.
PS: Kuluna , terme congolais désignant des bandes violentes ; utilisé ici par Cheikh Oumar Diagne pour qualifier des prédateurs économiques sans scrupules.