En visite de chantier sur l'axe Sénoba - Ziguinchor - Mpack, le ministre des infrastructures et des transports terrestres et aériens a inspecté l’état d’avancement des travaux de réhabilitation de la route nationale numéro 6. Après avoir longuement observé le chantier, il s’est exprimé sur l’exécution des travaux, qu’il juge en nette progression par rapport aux autres chantiers précédemment visités à l’intérieur du pays.
Selon lui, « le taux d’exécution des travaux de réhabilitation de la route Sénoba – Mpack est très satisfaisant. C’est le chantier le plus avancé parmi ceux que j’ai visités au Sénégal. Les délais ont été dépassés, mais les entreprises font des efforts. Il reste quelques arriérés de décompte à régler, mais elles ont resserré leur gestion pour accélérer les travaux », a déclaré le ministre.
Affichant une grande assurance, il promet une livraison officielle de cette route stratégique, considérée comme un axe panafricain sous-régional, dans les mois à venir. « Avant la fin de l’année 2025, la route sera ouverte. Nous avons déjà permis la circulation sur une partie de l’axe. Il ne reste que quelques derniers réglages avant l’ouverture officielle », a-t-il rassuré.
Sécurité routière : le ministre dénonce l’irresponsabilité de certains transporteurs
Le ministre s’est également exprimé sur la recrudescence des accidents de la route au Sénégal, malgré les nombreuses mesures mises en place par l’État. Il attribue la majeure partie des responsabilités à certains transporteurs, qui, selon lui, ne respectent ni le code de la route ni les normes de charge des véhicules.
« Je ne vais pas me contenter de répéter ce que l’on a toujours dit en se contentant de prier. Oui, il faut prier, mais nous devons aussi faire preuve de lucidité et d’actions concrètes. Le chef de l’État nous demande d’être dans l’action, d’être entreprenants et diligents pour mettre fin à certains comportements dangereux. Aujourd’hui, 90 % des accidents sont dus à l’erreur humaine. Ce n’est pas une fatalité. Ce que nous faisons actuellement contribue à la sécurisation des routes », a-t-il martelé.
Il a également pointé du doigt une contradiction fréquemment avancée par les transporteurs. « Ils ont souvent reproché à l’État de ne pas construire de bonnes routes pour assurer une circulation fluide. Mais nous avons constaté que les accidents les plus tragiques survenus ces derniers mois ont eu lieu sur les routes les plus récentes et les mieux entretenues », a-t-il dénoncé.
Selon lui, « le taux d’exécution des travaux de réhabilitation de la route Sénoba – Mpack est très satisfaisant. C’est le chantier le plus avancé parmi ceux que j’ai visités au Sénégal. Les délais ont été dépassés, mais les entreprises font des efforts. Il reste quelques arriérés de décompte à régler, mais elles ont resserré leur gestion pour accélérer les travaux », a déclaré le ministre.
Affichant une grande assurance, il promet une livraison officielle de cette route stratégique, considérée comme un axe panafricain sous-régional, dans les mois à venir. « Avant la fin de l’année 2025, la route sera ouverte. Nous avons déjà permis la circulation sur une partie de l’axe. Il ne reste que quelques derniers réglages avant l’ouverture officielle », a-t-il rassuré.
Sécurité routière : le ministre dénonce l’irresponsabilité de certains transporteurs
Le ministre s’est également exprimé sur la recrudescence des accidents de la route au Sénégal, malgré les nombreuses mesures mises en place par l’État. Il attribue la majeure partie des responsabilités à certains transporteurs, qui, selon lui, ne respectent ni le code de la route ni les normes de charge des véhicules.
« Je ne vais pas me contenter de répéter ce que l’on a toujours dit en se contentant de prier. Oui, il faut prier, mais nous devons aussi faire preuve de lucidité et d’actions concrètes. Le chef de l’État nous demande d’être dans l’action, d’être entreprenants et diligents pour mettre fin à certains comportements dangereux. Aujourd’hui, 90 % des accidents sont dus à l’erreur humaine. Ce n’est pas une fatalité. Ce que nous faisons actuellement contribue à la sécurisation des routes », a-t-il martelé.
Il a également pointé du doigt une contradiction fréquemment avancée par les transporteurs. « Ils ont souvent reproché à l’État de ne pas construire de bonnes routes pour assurer une circulation fluide. Mais nous avons constaté que les accidents les plus tragiques survenus ces derniers mois ont eu lieu sur les routes les plus récentes et les mieux entretenues », a-t-il dénoncé.