La Cour des comptes a publié, ce mercredi 12 février 2025, son rapport définitif sur la gestion des finances publiques du Sénégal. Ce document de 57 pages passe en revue l’évolution des dépenses et des recettes de l’État entre 2019 et le 31 mars 2024, mettant en lumière des tendances marquantes ainsi que des anomalies comptables.
À la suite de cette publication, le Gouvernement du Sénégal dirigé par Ousmane Sonko tiendra un point de presse ce jeudi 13 février 2025 pour commenter les conclusions de ce rapport.
L’audit révèle notamment une hausse significative de la masse salariale, qui est passée de 744,96 milliards de F CFA en 2019 à 1 303,50 milliards de F CFA en 2023, soit une augmentation de 74,97 %.
Autre anomalie dénoncée : l’encours de la dette de l’Administration centrale au 31 décembre 2023. Alors que le gouvernement présente un montant de 13 773 milliards de F CFA, les documents officiels du PLR 2023 indiquent un encours réel de 13 854 milliards de F CFA, soit un écart de 81 milliards de F CFA.
Pour rappel, Ousmane Sonko est le premier à avoir accusé Macky Sall et son entourage d’avoir falsifié des données économiques et budgétaires afin de masquer la réalité de la situation financière du pays.
À la suite de cette publication, le Gouvernement du Sénégal dirigé par Ousmane Sonko tiendra un point de presse ce jeudi 13 février 2025 pour commenter les conclusions de ce rapport.
L’audit révèle notamment une hausse significative de la masse salariale, qui est passée de 744,96 milliards de F CFA en 2019 à 1 303,50 milliards de F CFA en 2023, soit une augmentation de 74,97 %.
Autre anomalie dénoncée : l’encours de la dette de l’Administration centrale au 31 décembre 2023. Alors que le gouvernement présente un montant de 13 773 milliards de F CFA, les documents officiels du PLR 2023 indiquent un encours réel de 13 854 milliards de F CFA, soit un écart de 81 milliards de F CFA.
Pour rappel, Ousmane Sonko est le premier à avoir accusé Macky Sall et son entourage d’avoir falsifié des données économiques et budgétaires afin de masquer la réalité de la situation financière du pays.