Face aux menaces proférées par certains jeunes de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) à l’encontre des leaders religieux engagés dans une médiation pour ramener la paix à l’Est du pays, le gouvernement congolais a réagi fermement par l’intermédiaire de son porte-parole, Patrick Muyaya.
« Nous ne tolérerons aucune violence ou intimidation visant les autorités religieuses de notre pays », a déclaré le ministre de la Communication et des Médias.
Ces déclarations interviennent après que des militants de l’UDPS, le parti du président Félix Tshisekedi, ont exprimé leur colère contre certaines figures religieuses qu’ils accusent de prendre des positions critiques envers le pouvoir en place. Des appels à des actions violentes ont circulé sur les réseaux sociaux, suscitant une vive inquiétude au sein de la société civile et des institutions religieuses.
Patrick Muyaya a tenu à rappeler le rôle essentiel des confessions religieuses dans la cohésion nationale : « Les églises et les responsables religieux jouent un rôle central dans la paix et la stabilité de notre nation. Ils doivent pouvoir s’exprimer librement sans craindre pour leur sécurité. »
Il convient de souligner que ces religieux mènent des consultations depuis quelques mois afin de parvenir à faire taire les armes à l’Est du pays. Dans le cadre de leurs démarches, ils ont rencontré les rebelles du M23 ainsi que le Président rwandais Paul Kagame. Ce processus n’a pas été du goût des responsables du parti au pouvoir, qui privilégient une option militaire pour résoudre le conflit.
Le porte-parole du gouvernement a également souligné que l’État prendrait toutes les mesures nécessaires pour garantir la protection des leaders religieux et éviter toute escalade de tensions. « Toute tentative d’agression ou de perturbation de l’ordre public sera sévèrement sanctionnée », a-t-il averti, insistant sur la nécessité pour les jeunes militants de l’UDPS de respecter l’État de droit et les principes démocratiques.
Cette mise en garde s’inscrit dans un contexte politique tendu en RDC, où les relations entre certains acteurs religieux et le gouvernement se sont crispées ces derniers mois. La prise de position du gouvernement vise ainsi à rassurer la population et à prévenir tout débordement.
« Nous ne tolérerons aucune violence ou intimidation visant les autorités religieuses de notre pays », a déclaré le ministre de la Communication et des Médias.
Ces déclarations interviennent après que des militants de l’UDPS, le parti du président Félix Tshisekedi, ont exprimé leur colère contre certaines figures religieuses qu’ils accusent de prendre des positions critiques envers le pouvoir en place. Des appels à des actions violentes ont circulé sur les réseaux sociaux, suscitant une vive inquiétude au sein de la société civile et des institutions religieuses.
Patrick Muyaya a tenu à rappeler le rôle essentiel des confessions religieuses dans la cohésion nationale : « Les églises et les responsables religieux jouent un rôle central dans la paix et la stabilité de notre nation. Ils doivent pouvoir s’exprimer librement sans craindre pour leur sécurité. »
Il convient de souligner que ces religieux mènent des consultations depuis quelques mois afin de parvenir à faire taire les armes à l’Est du pays. Dans le cadre de leurs démarches, ils ont rencontré les rebelles du M23 ainsi que le Président rwandais Paul Kagame. Ce processus n’a pas été du goût des responsables du parti au pouvoir, qui privilégient une option militaire pour résoudre le conflit.
Le porte-parole du gouvernement a également souligné que l’État prendrait toutes les mesures nécessaires pour garantir la protection des leaders religieux et éviter toute escalade de tensions. « Toute tentative d’agression ou de perturbation de l’ordre public sera sévèrement sanctionnée », a-t-il averti, insistant sur la nécessité pour les jeunes militants de l’UDPS de respecter l’État de droit et les principes démocratiques.
Cette mise en garde s’inscrit dans un contexte politique tendu en RDC, où les relations entre certains acteurs religieux et le gouvernement se sont crispées ces derniers mois. La prise de position du gouvernement vise ainsi à rassurer la population et à prévenir tout débordement.